marie-jo a écrit:vous pensez quoi de cette histoire, moi je trouve ça pas mal cave
Ça va bien avec le personnage!!!
Se présenter à une élection, mais ne pas vouloir être élu... vaudrait mieux qu'il se trouve un autre "jeu" s'il a envie de s'amuser!
marie-jo a écrit:vous pensez quoi de cette histoire, moi je trouve ça pas mal cave
windigo a écrit:Jean François Mercier est un humoriste et son personnage de gros cave est représentatif de ce que pensent vraiment les politiciens de nous (électeurs). Je me rappelle très bien que Coluche c'était présenté au présidentiel en France, vous ne pensez pas que les politiciens nous prennent pour des imbéciles, quand un ministre comme John Baird parle de socialiste et non de sociale démocratie, la principale force des conservateurs est de faire peur aux gens.
Le pire dans toute l'histoire de Coluche en France , il avait vraiment des chances d'être élu s'il ne s’était pas retiré de la course. Mercier aurait dû se présenter conservateur, le personnage du gros cave représente bien l'idéologie des conservateurs et bravo pour Jean François Mercier, il a au moins le mérite d'être claire qu'il rit de nous.
Contre toute attente, le NPD est passé en tête dans les intentions dans la province pour la première fois de son histoire, supplantant ainsi le Bloc québécois à environ 10 jours du scrutin.
le travailleur a écrit:
La femme de ménage est sous la table là???
Richard Martineau
25/04/2011 05h29
Les frères jumeaux
Jeudi dernier, dans ma chronique, je citais une jeune militante péquiste qui affirmait que le problème, avec le Bloc, est que le parti de Gilles Duceppe penche trop à gauche.
Avec le résultat que les électeurs ne voyaient plus la différence entre le NPD et le Bloc.
UN CLONE ?
Cette militante n’est pas seule à penser de la sorte.
En 2008, l’ex-ministre Jacques Brassard avait publié une lettre ouverte affirmant la même chose.
« Le Bloc devient principalement un parti de gauche et accessoirement un parti souverainiste, écrivait-il. Il est devenu le jumeau du NPD, cet archaïque parti socialiste canadien… »
Dans une entrevue accordée à La Presse, l’ancien ministre en remettait.
« Le Bloc est devenu le clone du NPD. La souveraineté a été plus ou moins mise en veilleuse. On n'en parle plus. Les circonstances ne s'y prêtent pas. Mais il reste que c'était cela la raison d'être du Bloc.
« Malheureusement, cela ne fait plus partie de leur discours. Ils ont adopté carrément un discours de gauche avec tous les thèmes habituels de la gauche. Je regrette, mais moi ça ne me convient pas. Je ne me reconnais pas dans ce parti », avait-il lancé.
LE HAUT-PARLEUR DES SYNDICATS ?
Quelques jours plus tard, cinq anciens députés bloquistes sortaient eux aussi du placard pour tirer à boulets rouges sur les idées défendues par Gilles Duceppe.
« Il y a tellement d’anciens syndicalistes de la CSN qui se sont recyclés comme militants ou députés du Bloc que je me demande parfois si le Bloc n’est pas en fait le Sénat de la CSN à Ottawa », déplorait Richard Belisle, député bloquiste de 1993 à 1997, à La Presse.
« Le Bloc est inutile. Ceux qui n’étaient pas de l’extrême gauche ou du milieu syndical ont vécu l’enfer dans ce parti. Je regarde cela et je trouve cela épouvantable. Le Bloc québécois est devenu le bras politique de la CSN », renchérissait Ghyslain LeBel, député bloquiste de 1993 à 2002.
« Regardez les hauts dirigeants du Bloc, Gilles Duceppe, Pierre Paquette, Francine Lalonde, Claude Bachand, Yves Lessard : ils sont tous issus du milieu syndical… »
LE CHEMINEMENT DU CHEF
Vous voulez comprendre pourquoi le Bloc a pris un tel virage ?
Vous n’avez qu’à regarder le cheminement de son chef.
En 1980, Gilles Duceppe n’a pas voté au référendum car il était membre du Parti Communiste du Québec, et que pour les cocos, le débat constitutionnel était d’abord et avant tout une chicane entre deux clans capitalistes.
Gilles Duceppe est né en juillet 1947.
Faites le calcul : lors du référendum de mai 1980, l’actuel chef du Bloc avait presque 33 ans.
Être membre du Parti communiste à 20 ans est romantique.
Être membre du Parti communiste à 33 ans (et ce, neuf ans avant la chute du Mur) est, disons… spécial. Il faut vraiment être convaincu.
CHOISIR L’ORIGINAL
Actuellement, le Parti conservateur ne passe pas au Québec. Et la réputation du PLC est encore entachée par le souvenir du scandale des commandites.
Restent donc le NPD et le Bloc.
Or, si vous aviez le choix entre voir un spectacle d’Élvis, et voir le spectacle d’un imitateur d’Elvis, lequel choisiriez-vous ?
Poser la question, c’est y répondre…
msemblaitaussi a écrit:Bien heureux de constater que Parizeau réussit, encore et toujours, à causer de gigantesques "blocages", à tous les niveaux, dans le camp que forment qques fiers "fédérastes" francophones du Québec incurablement atteint de rétention anale aiguë.
Une belle p’tite bande de grands humoristes, qui s’ignorent, qui sont tellement occupés à se déconstiper les boyaux sur le dos du Bloc Québécois qu’ils en oublient à chaque élection qui se présente qu’ils se sont faits fourrés royalement, dans tous les sens possibles, et ce, par tous les autres partis politiques qu’ils ont rêvés de mettre au pouvoir dans le seul et unique but d'écraser au max. le Bloc, beaucoup trop Québécois à leur goût.
Comme ça se disait autrefois ; ces idiots-là, quoi qu’il advienne, votent aveuglément que du coté du pouvoir ou de celui que des Jean Lapierre et ses semblables de ce monde disent, surtout très "honnêtement", qui devrait bien l'être pour enfin nous sauver de la misère et du déshonneur.
Plus cave que ça, tu continues de bouffer ton foin jusqu'à temps que t'en meurs.
Hee-haw, cowboy !
lecowboy a écrit:..........................................................................
jaco44 a écrit:Ils ont pensé à boisclair aussi!!!Pour sortir Parizeau des boules a mites le bloc est mal pris en ta!
Cyberwing a écrit:Mais j'aime mieux être un "Elvis Gratton" qu'un ti-claude nationaleux sul bs avec un beau gros drapeau du Québec dans la fenêtre de salon pis rien dans l'frigidaire !
Des «crosseurs professionnels», dit Gérald Larose
Jean-Marc Gilbert
Agence QMI
27/04/2011 12h41
Le président du Conseil de la souveraineté du Québec, Gérald Larose, y est allé d'une sortie en règle contre le NPD et les autres partis fédéraux.
Agence QMI / Sébastien St-JeanMONTRÉAL – Intervenant en faveur du Bloc québécois, le président du Conseil de la souveraineté du Québec, Gérald Larose, s'est vivement attaqué aux autres formations, en particulier le Nouveau Parti démocratique, allant même jusqu'à les traiter de «crosseurs professionnels».
Ce faisant, M. Larose a presque volé la vedette au candidat bloquiste de Rosemont–La Petite-Patrie, Bernard Bigras, qui voulait convaincre les électeurs de la Belle Province de voter à nouveau pour le Bloc s'ils veulent voir leurs intérêts être défendus à Ottawa.
Mettant en relief «l'inexpérience des candidats néo-démocrates », M. Bigras a dit trouver « inquiétant de voir que personne n'a fait le bilan historique du NPD. Il faut mettre ça au clair pour permettre au Québécois de faire leur choix le 2 mai prochain».
Gérald Larose s'est montré beaucoup plus virulent à l'endroit des adversaires du Bloc.
Reconnaissant avoir voté à plusieurs reprises pour le NPD ...
lecowboy a écrit:Cyberwing a écrit:Mais j'aime mieux être un "Elvis Gratton" qu'un ti-claude nationaleux sul bs avec un beau gros drapeau du Québec dans la fenêtre de salon pis rien dans l'frigidaire !
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