Tiens, tiens…
Les p’tits connaisseurs rongés, à vie, par l’envie et une jalousie morbide qui ne comprennent, en fait, du hockey que ce que leurs hebdos à potins croustillants d’leurs "veudettes" veulent bien leur expliquer, qui sortent du placard dès qu’leurs orteils commencent à se tordre et que s’intensifient démesurément leurs irritations cutanées. (pôvres p’tites bêtes)
Malheureusement pour eux, Halak ou Price ou les deux réunis (si toutefois ils savent les reconnaitre sur une glace) ne connaitront jamais durant toute leur carrière, à peine le quart des exploits que Théodore a accompli pendant 4 saisons et demi chez nous (60 matchs par année, 36 lancers par match et 2 fois sortir des séries un adversaire avec 21 points de plus) derrière les pires formations de l’Histoire centenaire du Canadien.
Même si en ce moment Théodore tire encore très bien son épingle du jeu derrière la défensive la plus désordonnée de la NHL, on entend encore certain (p'tit connaisseur) dire que c'est l'offensive qui lui sauve la face. Ce que ces ti-counes ne savent pas, c'est qu'Halak et Price se contenteraient bien que de la moitié du savoir-faire et de la dureté du mental de Théodore pour enfin être reconnu dans la NHL.