[img][/img]
Texte Louis Préfontaine
Une conférence de l’organisation islamiste Islamic Relief Foundation, sous le paravent d’un insipide « United for Change » (Unis pour le changement) doit avoir lieu, en anglais, au Palais des congrès de Montréal le 25 septembre prochain. Au programme, plusieurs orateurs reliés à l’organisation des « Frères musulmans », une nébuleuse encourageant le djihadisme, la violence et désirant renverser nos sociétés laïques pour les remplacer par une sorte de califat mondial basé sur la charia. Il est inacceptable que le gouvernement du Québec, qui finance le Palais des congrès, accepte qu’une telle activité puisse avoir lieu.
En effet, si nous plions encore une fois devant les fanatiques, quel message leur lançons-nous, sinon que le Québec, ce territoire qu’ils méprisent à un tel point qu’ils n’ont même pas daigné utiliser sa langue commune dans leur propagande, constitue une terre fertile et une porte d’entrée pour implanter leurs réseaux islamistes?
Ce ne sont pas des enfants d’écoles qui doivent se présenter à cette conférence:
Tariq Ramadan est le petit-fils du fondateur de l’organisation des Frères musulmans, que même le Congrès musulman canadien aimerait voir sur la liste canadienne des organisations terroristes.
Jamal Badawi est membre de l’Islamic Society of North America (ISNA) et est le leader des Frères musulmans en Amérique du Nord.
Zainab Al-Alwani du Fiqh Council of North America (une organisation veillant à promouvoir une vie musulmane en accord avec la charia, en Amérique du Nord), est une proche parente de Taha Al-Alwani du réseau américain des Frères Musulmans;
Abdalla Idris Ali est membre de l’Islamic Society of North America (ISNA);
Yasir Qadhi a été impliqué dans une controverse pour avoir qualifié l’Holocauste de supercherie;
On pourrait également ajouter:
Navaid Aziz, un parfait exemple de non-intégration à notre société, lui qui est né à Montréal, a étudié au cégep Champlain en anglais et fait maintenant la promotion, toujours dans cette langue, de l’islam.
Salam Elmenyawi, porte-parole du Islamic Center of Quebec, est en faveur de l’application de tribunaux islamiques au Canada et il a déjà déclaré qu’il serait prêt à se battre si le Canada suivait l’exemple de la France et interdisait le voile islamique.
On le constate: sous le paravent d’une conférence unificatrice se retrouve une véritable organisation de propagande cherchant à recruter de nouveaux membres prêts à prier Allah aujourd’hui, mais peut-être également à renverser notre démocratie demain matin. Et le tout – évidemment – en anglais, dans une institution payée avec nos taxes et nos impôts.
Il faut se débarrasser de ces fanatiques
Récemment, le Marriott de Chicago a annulé, à une semaine de pré-avis, une conférence semblable. Nous devons faire la même chose. Il faut que le gouvernement du Québec et la direction du Palais des congrès réitèrent que nos valeurs fondamentales ne sont pas à prendre à la légère et qu’il est hors-de-question que l’État québécoise participe, même de loin, à une conférence méprisant à la fois le caractère francophone de la nation québécoise et notre démocratie laïque. La citoyenne Céline Plourde, qui m’a informé de cet événement, a raison de s’indigner et de réclamer des actions concrètes contre cette organisation-satellite des Frères musulmans.
Il faut également agir à la source. Ce type de mouvance, reliée à des groupuscules radicaux, s’abreuve d’une immigration musulmane massive, leur offrant une base toujours plus large pour soutenir leur véritable but à long terme: renverser notre démocratie. Tant que nous recevrons 50 000 immigrants par année, nous leur fournirons la matière de base leur permettant d’assurer le succès de telles entreprises de propagande et nous augmenterons ainsi la possibilité de voir un nombre toujours grandissant de personnes prendre le chemin du radicalisme, puis du terrorisme. Tant que nous adhérerons à un multiculturalisme encourageant le repli sur soi des nouveaux arrivants, nous contribuerons à cette violence qui se retournera contre nous.
Il faut le répéter: ces Islamistes qui participeront à cette conférence ne font pas partie de nous. Ils n’ont ni le goût de faire des compromis avec nous, ni même de respecter nos valeurs fondamentales. Ils ne sont même pas capables de faire un site web ou une conférence dans notre langue nationale. Leur but est de nous détruire. On peut l’écrire de mille façons différentes, en poème, en prose, avec de la tire d’érable dans la neige s’il le faut, mais le but de ces gens est d’en finir avec nos valeurs nationales et d’instaurer la charia non seulement ici, mais partout au monde.
Et nous, nous les invitons, nous leur offrons un toit, nous leur disons presque: « venez nous détruire, messieurs, venez contribuer à notre chute. Venez mépriser notre langue et nos valeurs! ». C’est une honte innommable. Un peu comme si vous invitiez à souper un individu ayant menacé de mort votre propre mère et que vous lui offriez un lit pour la nuit. On n’appelle pas cela de l’ouverture aux autres cultures, comme certains voudront sûrement le faire croire. On appelle cela une reddition.
Le gouvernement (en apparence) corrompu de Jean Charest a peut-être d’autres marmites sur le feu en ce moment, mais il devrait tout de même trouver le temps nécessaire pour s’opposer fermement à cette conférence et d’établir que les valeurs québécoises ne sont pas négociables.
Ce serait peut-être enfin, pour lui, l’occasion de démontrer que certaines choses, dans les officines libérales, ne s’achètent pas…
Sinon, autant abdiquer dès maintenant et appliquer la charia, in english only, dans tout le Québec.
Texte Louis Préfontaine
Une conférence de l’organisation islamiste Islamic Relief Foundation, sous le paravent d’un insipide « United for Change » (Unis pour le changement) doit avoir lieu, en anglais, au Palais des congrès de Montréal le 25 septembre prochain. Au programme, plusieurs orateurs reliés à l’organisation des « Frères musulmans », une nébuleuse encourageant le djihadisme, la violence et désirant renverser nos sociétés laïques pour les remplacer par une sorte de califat mondial basé sur la charia. Il est inacceptable que le gouvernement du Québec, qui finance le Palais des congrès, accepte qu’une telle activité puisse avoir lieu.
En effet, si nous plions encore une fois devant les fanatiques, quel message leur lançons-nous, sinon que le Québec, ce territoire qu’ils méprisent à un tel point qu’ils n’ont même pas daigné utiliser sa langue commune dans leur propagande, constitue une terre fertile et une porte d’entrée pour implanter leurs réseaux islamistes?
Ce ne sont pas des enfants d’écoles qui doivent se présenter à cette conférence:
Tariq Ramadan est le petit-fils du fondateur de l’organisation des Frères musulmans, que même le Congrès musulman canadien aimerait voir sur la liste canadienne des organisations terroristes.
Jamal Badawi est membre de l’Islamic Society of North America (ISNA) et est le leader des Frères musulmans en Amérique du Nord.
Zainab Al-Alwani du Fiqh Council of North America (une organisation veillant à promouvoir une vie musulmane en accord avec la charia, en Amérique du Nord), est une proche parente de Taha Al-Alwani du réseau américain des Frères Musulmans;
Abdalla Idris Ali est membre de l’Islamic Society of North America (ISNA);
Yasir Qadhi a été impliqué dans une controverse pour avoir qualifié l’Holocauste de supercherie;
On pourrait également ajouter:
Navaid Aziz, un parfait exemple de non-intégration à notre société, lui qui est né à Montréal, a étudié au cégep Champlain en anglais et fait maintenant la promotion, toujours dans cette langue, de l’islam.
Salam Elmenyawi, porte-parole du Islamic Center of Quebec, est en faveur de l’application de tribunaux islamiques au Canada et il a déjà déclaré qu’il serait prêt à se battre si le Canada suivait l’exemple de la France et interdisait le voile islamique.
On le constate: sous le paravent d’une conférence unificatrice se retrouve une véritable organisation de propagande cherchant à recruter de nouveaux membres prêts à prier Allah aujourd’hui, mais peut-être également à renverser notre démocratie demain matin. Et le tout – évidemment – en anglais, dans une institution payée avec nos taxes et nos impôts.
Il faut se débarrasser de ces fanatiques
Récemment, le Marriott de Chicago a annulé, à une semaine de pré-avis, une conférence semblable. Nous devons faire la même chose. Il faut que le gouvernement du Québec et la direction du Palais des congrès réitèrent que nos valeurs fondamentales ne sont pas à prendre à la légère et qu’il est hors-de-question que l’État québécoise participe, même de loin, à une conférence méprisant à la fois le caractère francophone de la nation québécoise et notre démocratie laïque. La citoyenne Céline Plourde, qui m’a informé de cet événement, a raison de s’indigner et de réclamer des actions concrètes contre cette organisation-satellite des Frères musulmans.
Il faut également agir à la source. Ce type de mouvance, reliée à des groupuscules radicaux, s’abreuve d’une immigration musulmane massive, leur offrant une base toujours plus large pour soutenir leur véritable but à long terme: renverser notre démocratie. Tant que nous recevrons 50 000 immigrants par année, nous leur fournirons la matière de base leur permettant d’assurer le succès de telles entreprises de propagande et nous augmenterons ainsi la possibilité de voir un nombre toujours grandissant de personnes prendre le chemin du radicalisme, puis du terrorisme. Tant que nous adhérerons à un multiculturalisme encourageant le repli sur soi des nouveaux arrivants, nous contribuerons à cette violence qui se retournera contre nous.
Il faut le répéter: ces Islamistes qui participeront à cette conférence ne font pas partie de nous. Ils n’ont ni le goût de faire des compromis avec nous, ni même de respecter nos valeurs fondamentales. Ils ne sont même pas capables de faire un site web ou une conférence dans notre langue nationale. Leur but est de nous détruire. On peut l’écrire de mille façons différentes, en poème, en prose, avec de la tire d’érable dans la neige s’il le faut, mais le but de ces gens est d’en finir avec nos valeurs nationales et d’instaurer la charia non seulement ici, mais partout au monde.
Et nous, nous les invitons, nous leur offrons un toit, nous leur disons presque: « venez nous détruire, messieurs, venez contribuer à notre chute. Venez mépriser notre langue et nos valeurs! ». C’est une honte innommable. Un peu comme si vous invitiez à souper un individu ayant menacé de mort votre propre mère et que vous lui offriez un lit pour la nuit. On n’appelle pas cela de l’ouverture aux autres cultures, comme certains voudront sûrement le faire croire. On appelle cela une reddition.
Le gouvernement (en apparence) corrompu de Jean Charest a peut-être d’autres marmites sur le feu en ce moment, mais il devrait tout de même trouver le temps nécessaire pour s’opposer fermement à cette conférence et d’établir que les valeurs québécoises ne sont pas négociables.
Ce serait peut-être enfin, pour lui, l’occasion de démontrer que certaines choses, dans les officines libérales, ne s’achètent pas…
Sinon, autant abdiquer dès maintenant et appliquer la charia, in english only, dans tout le Québec.