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descriptionDécouvertes scientifiques : Espace EmptyDécouvertes scientifiques : Espace

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Un système solaire asymétrique

Notre système solaire n'est pas la sphère que les astrophysiciens décrivaient jusqu'à aujourd'hui.

Le vent solaire souffle dans toutes les directions à partir de notre étoile, mais sa zone d'influence nommée héliosphère serait loin d'épouser la forme d'une bulle ronde.

Des observations de la sonde Voyager 2 montrent qu'elle serait plutôt asymétrique puisque fortement perturbée par les champs magnétiques interstellaires.


Voyager 2 se trouve actuellement à l'extrémité du système solaire, dans une région nommée choc terminal. Cette zone est située bien au-delà de l'orbite de Pluton. À cet endroit, les particules de vent solaire sont ralenties par le milieu interstellaire.

La NASA estime que Voyager 2 parviendra dans l'espace interstellaire d'ici sept à dix ans et espère que la sonde aura suffisamment de combustible pour fonctionner jusqu'en 2020.

Radio-Canada

descriptionDécouvertes scientifiques : Espace EmptyRe: Découvertes scientifiques : Espace

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Des anneaux plus vieux (Saturne)

Les anneaux de Saturne ne se seraient pas formés il y a une centaine de millions d'années, comme le pensaient les astronomes, mais il y a 4,5 milliards d'années.

Des observations de la sonde américaine Cassini montrent que cette structure particulière à la sixième planète du système solaire serait aussi vieille que le système solaire lui-même.

Jusqu'à aujourd'hui, la théorie acceptée voulait que les anneaux de Saturne soient les restes d'une collision entre une météorite et un satellite de la planète.


Les informations recueillies par la sonde et analysées par des chercheurs de l'Université du Colorado montrent que les particules des anneaux se désagrègent et se regroupent constamment pour former de nouveaux anneaux.

Les astronomes s'intéressent aux anneaux, car ils seraient semblables au disque de gaz et de poussière qui enveloppait initialement le Soleil.

Leur compréhension pourrait donc aider à comprendre la formation des planètes.

Radio-Canada

descriptionDécouvertes scientifiques : Espace EmptyRe: Découvertes scientifiques : Espace

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Un trou noir prédateur!

Des astrophysiciens américains ont observé un spectable bien particulier. Pour la première fois, ils ont observé un jet de particules s'expulser d'un trou noir géant et frapper une galaxie voisine sur sa trajectoire.

Selon les chercheurs du Centre d'astrophysique Harvard-Smithsonian, cet événement peut endommager l'atmosphère des planètes de la galaxie touchée.

La nature des jets


L'équipe de recherche affirme que ces jets produisent énormément de radiations qui, à la vitesse des particules (proche de la vitesse de la lumière), peuvent altérer sérieusement l'atmosphère des planètes qui se trouvaient dans la ligne de mire du jet. Par exemple, le jet pourrait détruire d'éventuelles couches d'ozone protectrices.

L'influence du jet de particules sur la galaxie voisine risque d'être important puisque que les deux galaxies sont très proches, éloignées seulement de 20 000 années lumière.

Radio-Canada

descriptionDécouvertes scientifiques : Espace EmptyRe: Découvertes scientifiques : Espace

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Photos de l'éclipse de Lune

20 février 2008


http://galeriedephotos.cyberpresse.ca/index.php?t=Black&a=4399&m=cp

descriptionDécouvertes scientifiques : Espace EmptyRe: Découvertes scientifiques : Espace

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Le pôle Sud très accidenté
Radio Canada

Découvertes scientifiques : Espace 08022810

Le pôle Sud de la Lune est une région beaucoup plus accidentée que ne le pensaient les experts de la NASA.

Un examen topographique mené à l'aide d'un radar terrestre de grande puissance montre que les environs du cratère de Shackleton, la région étudiée par la NASA comme possible site d'atterrissage, sont très inégaux.

Cette zone pourrait cependant contenir des quantités importantes d'eau sous forme de glace, nécessaire à la création d'une base permanente américaine sur la Lune.


Selon Doug Cooke, de la NASA, il existe à cet endroit des montagnes aussi élevées que les 6193 m du mont McKinley, en Alaska. Il y aurait aussi des cratères quatre fois plus profonds que le Grand Canyon, au Colorado.

Des terrains aussi accidentés pourraient poser des problèmes lors d'une prochaine mission, et les nouvelles informations recueillies seront un outil précieux pour la préparation de ces missions.

Atterrir sans surprise


Les ingénieurs de la NASA ont intégré les images radars à des animations de descente d'un futur engin sur le sol lunaire. Un survol du cratère de Shackleton d'un diamètre de 19 km a également été simulé.

Les observations précédentes de cette zone faites par la sonde Clementine avaient une précision de 1 km par pixel. Les dernières images sont 50 fois plus détaillées.

Plus d'informations à venir


L'orbiteur Lunar Reconnaissance de la NASA sera lancé à la fin 2008 et fournira la prochaine génération d'images et de données des pôles lunaires avec une précision de 1 m par pixel.

Ces informations fourniront des données sur:


l'ensoleillement des pôles;
la présence de ressources potentielles;
des dangers représentés par le terrain;
les températures;
les ultraviolets;
les radiations sur le sol.


Dernière édition par Maggy le Dim 20 Avr 2008, 20:34, édité 1 fois (Raison : ajout de photo)

descriptionDécouvertes scientifiques : Espace EmptyVers un nouveau monde

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L'astrophysicien britannique Stephen Hawking pense que l'humanité doit se lancer dans la conquête de l'espace dans le même esprit que celui qui accompagnait Christophe Colomb au 15e siècle.

À ceux qui estiment que cet investissement est un gaspillage, le scientifique reconnu pour ses travaux sur l'univers et la gravité affirme que l'humain est dans la même situation aujourd'hui que les Européens en 1492.

Selon lui, certains auraient très bien pu dire que c'était un gaspillage d'envoyer Colomb chercher quelque chose qui n'existait pas. Partir à la conquête de l'espace aura un effet encore plus grand.


La NASA veut construire sur la Lune des installations permettant à ses astronautes des séjours pouvant aller jusqu'à 6 mois, dans le cadre de son projet de retour sur le sol lunaire prévu autour de 2020.

Dans 200 à 500 ans, un vaisseau spatial pourrait transporter des astronautes hors du système solaire, vers une autre planète accueillante dans un autre système.

Le scientifique de 66 ans, atteint de sclérose latérale amyotrophique, communique par l'intermédiaire d'un synthétiseur vocal. Il y a un an, il a quitté quelques instants son fauteuil roulant lors de sa première expérience de vol en apesanteur dans un avion spécial.

Radio Canada

descriptionDécouvertes scientifiques : Espace EmptyDe la matière manquante de l'univers découverte

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De la matière manquante de l'univers découverte par des astrophysiciens

Agence France-Presse
Paris

Des physiciens travaillant en Allemagne et aux Pays-Bas ont observé pour la première fois de la matière «ordinaire» manquante dans le cosmos, dont l'existence était reconnue sur le plan théorique sans être montrée, relève mercredi l'Institut Max-Planck de physique extra-terrestre à Garching, près de Munich.


L'univers est composé à plus de 95% de substances dont la composition reste inconnue: la matière noire (21%) et l'énergie sombre (75%). Le reste, entre 4% et 5%, est de la matière ordinaire (protons, neutrons).

Mais toutes les galaxies découvertes jusqu'ici ne comptaient que pour la moitié de cette matière ordinaire, ou baryonique.

Grâce au télescope XMM-Newton à rayons X de l'Agence spatiale européenne (ESA), des astrophysiciens de l'institut Max-Planck et de deux instituts néerlandais ont détecté un fragment de ce qui devrait être l'autre moitié de cette matière ordinaire. Elle est située dans des parties de l'univers relativement vides, entre deux ou plusieurs amas de galaxies.

Il s'agit en l'occurence d'un «pont» de gaz chaud et très peu dense reliant deux amas de galaxies, Abell 222 et Abell 223, éloignées de la Terre de quelque 2,3 milliards d'années-lumière (une année-lumière = 9460 milliards de km).

Contrairement à d'autres, cette constellation était dans la droite mire du télescope, le pont gazeux pouvant ainsi être observé de face.

Le gaz à la température comprise entre 10 000 et un million de degrés, «est probablement la partie la plus dense et la plus chaude du gaz diffus présent dans le cosmos, qui pourrait constituer environ la moitié» de la matière ordinaire, a déclaré à l'Agence spatiale européenne (ESA) Norbert Werner, qui a dirigé les travaux publiés en mai dans la revue américaine Astronomy and Astrophysics Letters.

«Jusqu'à présent, nous ne pouvions observer que les amas, ou noeuds denses de la toile de l'univers. Maintenant nous commençons à voir les fils de l'immense toile d'araignée cosmique», explique l'astrophysicienne Aurora Simionescu de l'institut Max-Planck.

«Pour comprendre la distribution de matière dans l'univers, nous devons observer d'autres systèmes comme celui-ci», conclut M. Werner de l'Institut néerlandais de recherches spatiales SRON.

descriptionDécouvertes scientifiques : Espace EmptyPremière pelletée de sol martien

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La sonde américaine Phoenix, posée dans l'arctique martien depuis une semaine, a pris sa première pelletée de sol afin de tester son bras manipulateur robotisé.

Le bras a d'abord gratté le sol de la zone surnommée King of Hearts, puis a déchargé la matière dans une zone désignée. L'opération a été suivie de près par la caméra installée sur le bras robotisé.

Les responsables de la mission tenteront de nouveau l'opération cette semaine. Ils chaufferont alors la matière recueillie afin d'identifier les éléments qui la composent.


La pelle a laissé une trace qui ressemble à l'empreinte d'un pied géant, ce qui lui a déjà valu le surnom de Yéti.

Ce premier contact avec le sol de Mars a permis aux ingénieurs de la NASA d'utiliser le bras robotisé avec précision.

De la glace


La caméra fixée au bras a également pris un certain nombre de photos de ce qui semble être de la glace, sous l'atterrisseur.

Les responsables recueilleront plus de données durant les prochains jours afin de déterminer la composition de cette structure.

La mission de Phoenix, la première dans la région arctique martienne, est programmée pour trois mois et pourrait être prolongée de deux mois.


Son objectif principal est d'explorer le sol et d'étudier des échantillons de pergélisol, afin de déterminer si les conditions ont été favorables, à un moment ou à un autre de l'histoire de la planète, pour l'émergence de la vie.

descriptionDécouvertes scientifiques : Espace EmptyRe: Découvertes scientifiques : Espace

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