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L’âme humaine pèse 1/3.000 d’une once !

Cela est l’étonnante revendication de chercheurs de l’Allemagne de l’Est, qui récemment ont pesé, au dernier moment, plus de deux cents malades en phase terminale, et immédiatement après leur mort.

Dans chaque cas le poids perdu était exactement le même 1/3.000 d’une once.

L’indéniable conclusion est que maintenant nous avons confirmé l’existence de l’âme humaine et déterminé son poids, le Dr Becker Mertens de Dresde l’affirme dans une lettre reproduite dans Horizon le journal scientifique allemand.

Le défi se présente maintenant est de déterminer exactement de quoi l’âme est composée, ajoute-il. Nous supposons que c’est une forme d’énergie. Bien que nos tentatives pour identifier cette énergie soient restées sans succès, à ce jour.

Le rapport des experts, cosigné par la physicienne Elke Fisher passe de main en main auprès des scientifiques de haut niveau de la planète. Gérard Voisart, le pathologiste français faisant autorité, fut particulièrement critique, disant que la différence de poids entre le vivant et le mort pouvait provenir de l’air resté dans les poumons. Mais les Docteurs Fisher et Martens affirmèrent qu’ils en avaient tenu compte dans leurs calculs. Ils établirent ensuite que le dispositif sur lequel ils s’appuyèrent pour calculer le poids de l’âme avait une marge d’erreur de 1/100.000 d’une once.

Il nous apparaît que le poids perdu pourrait être le résultat d’une détérioration physique instantanée, disait le Dr Fisher. Mais après une étude exhaustive nous convînmes que ce n’était pas le cas. La seule explication possible est que nous mesurions la volatilisation de l’âme humaine ou une sorte de force vitale.

Les scientifiques communistes furent prudent et ne relièrent pas leur étude de l’âme à un être supérieur ou à une vie post-mortem. Mais les responsables religieux contactés par la presse européenne dirent que le rapport des experts confirmait l’existence de Dieu et du ciel, et firent l’éloge de cette recherche qui ouvrait une brèche.

Il est ironique que des scientifiques communistes conduisirent une recherche sur l’âme et qu’en sus ils déclarèrent l’avoir trouvée, dit un homme d’église.

Les tentatives répétées d’obtenir une déclaration du Vatican resta sans succès. Mais une personne haut placée dit que le pape Jean-Paul II eut connaissance de l’étude allemande. Et elle aurait ajouté qu’il fut très impressionné. L’Eglise Catholique Romaine ne s’est jamais ressentie concernée par le poids de l’âme, mais nous sommes satisfaits de la confirmation scientifique de son existence, précisa la personne.
______________

Une decouverte et un sujet particulier que je trouve interessante
si vous avez du temps je met le texte integrale à lire

LE PESEUR D'ÂME. Auteur: André Maurois (1885-1967)




CLIQUEZ

descriptionDécouvertes  Humaines EmptyDe Néandertalien à Homo sapiens?

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Le lien entre l'Homo sapiens et l'homme de Néandertal est à nouveau mis en question.

L'archéologue Eugène Morin, professeur à l'Université Trent, en Ontario, remet en cause la théorie selon laquelle l'homme de Néandertal aurait peu à peu disparu d'Europe pour être remplacé par l'Homo sapiens.

Selon le Pr Morin, un important changement climatique en Europe il y a 40 000 ans serait pluôt à l'origine d'une évolution rapide des Néandertaliens en Homo sapiens.


Une évolution forcée

Les caractéristiques physiques de l'homme de Néandertal, au lieu de décliner jusqu'à l'extinction, se seraient atténuées durant un déclin de la population causé par la rigueur du climat. En fait, la réduction de la diversité des animaux chassés aurait affecté leur diète, et peu à peu, leurs traits physiques.

Ainsi, le Néandertalien serait peu à peu devenu un Homo sapiens.


Cette théorie est basée sur l'analyse d'ossements fossilisés d'animaux mis au jour dans la région de Saint-Césaire, en France, et qui daterait du passage des Néandertaliens aux Homo sapiens.

Le Pr Morin affirme que, durant cette période, le nombre de gros mammifères herbivores (bisons, chevaux), a beaucoup diminué au profit des cerfs, mieux adaptés au climat rigoureux.

Le détail de cette théorie sera prochainement publié dans Proceedings of the National Academy of Sciences.


Radio Canada

descriptionDécouvertes  Humaines EmptyUn caoutchouc qui s'autorépare!

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Un caoutchouc qui s'autorépare!

Vos souliers, outils et vêtements se répareront peut-être d'eux-mêmes dans un avenir prochain grâce à la création d'un nouveau caoutchouc aux nombreuses qualités.

Des chercheurs français ont mis au point une matière élastique synthétisée à partir d'acide gras d'origine végétale qui se répare d'elle-même.

Cette percée a été réalisée à l'École supérieure de physique et de chimie industrielles (ESPCI) à Paris.


La substance est composée de molécules qui s'assemblent en réseaux supramoléculaires qui, s'ils sont rompus, se réassemblent d'eux-mêmes pour retrouver leur forme initiale.

Plusieurs utilités

Les chercheurs pensent que leur invention peut avoir de nombreuses utilisations:



vêtements qui se réparent d'eux-mêmes;
jouets, outils, et objets incassables;
pièces de voitures;
adhésifs;
vernis et peintures.
De plus, le processus de rupture et de réparation peut être répété de nombreuses fois, affirme le Dr Ludwik Leibler de l'ESPCI.

Le groupe chimique Arkema participe à la recherche depuis 2000 et a commencé à développer des applications industrielles.


De nouveaux produits seront créés à partir du nouveau caoutchouc d'ici un à deux ans, estime Manuel Hidalgo, chercheur chez Arkema.

Le magazine Nature publie un article intitulé Self healing and thermoreversible rubber from supramolecular assembly concernant cette percée.

Radio Canada

descriptionDécouvertes  Humaines EmptyRe: Découvertes Humaines

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Les dangers du travail par quarts

Des horaires changeants, un décalage horaire ou l'insomnie compromettent le bon fonctionnement du coeur et des reins.

« Nous savions que la modification du rythme circadien était associée à une longévité réduite, dit Martin Ralph, professeur de psychologie à l'Université de Toronto. Nous avons décidé d'examiner pourquoi et de quelle manière. » Avec une équipe de chercheurs, il l'a démontré en soumettant des hamsters à un éclairage les empêchant de dormir suffisamment et à des heures régulières.

Ces résultats sont publiés dans le Journal of American Physiology.


La bonne nouvelle: le coeur et les reins des animaux de laboratoire ont recouvré leur structure et leur fonctionnement normal quand ils sont revenus à un rythme de vie normal.

globetrotter science

descriptionDécouvertes  Humaines EmptyRe: Découvertes Humaines

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La «voix» de la foule: bruit blanc ou coloré?

Jean-François Cliche
Le Soleil
Québec



Chaque fois que le Canadien de Montréal marque un but au Centre Bell, une chose étrange
se produit: la voix d’une foule qui crie. Vous l’avez déjà remarquée, cette «voix» qui ressemble
au bruit d’une averse ou d’une chute d’eau?

Même en hurlant aussi fort qu’il est humainement possible, personne n’a un timbre de voix qui
s’approche de cela. Alors qu’est-ce qui donne cette tonalité à une foule?

Ce qui nous permet d’entendre, c’est la sensibilité de l’oreille humaine à d’infimes différences
dans la pression de l’air. Les gaz, comme ceux de l’atmosphère, ont toujours tendance à se répartir uniformément dans l’espace, mais leur homogénéité peut être dérangée par des vibrations
mécaniques, comme celles qui surviennent à la suite d’un choc ou celles des cordes vocales d’un
partisan en délire. Ces vibrations provoquent alors une suite de compressions et de raréfactions
de l’air, qui se propage rapidement. Ce sont ces différences de pression que perçoit
le système auditif.

Comme pour les autres phénomènes ondulatoires, la rapidité de cette alternance
— la «fréquence» — se compte en hertz (Hz), où 1 Hz correspond à un cycle
compression-raréfaction par seconde. Les sons les plus graves que notre oreille
peut capter ont une fréquence d’environ 30 Hz, et les plus aigus, autour de 20 000 Hz,
mais la voix humaine couvre une gamme beaucoup plus réduite. D’après le site des hôpitaux
universitaires de Lyon, la fréquence de la voix des hommes se situe entre 96 et 150 Hz, celle
des femmes, plus aiguë, entre 192 et 300 Hz, et celle des enfants, encore plus haut perchée,
entre 260 et 400 Hz.

Ajoutons ici que personne ne vocalise à une fréquence unique. Nos voix sont plutôt un mélange
de plusieurs fréquences différentes, et c’est cet amalgame qui donne son timbre particulier
et aisément reconnaissable à la voix de chacun.

Ces parasites dans la radio

Mais bien que le système auditif puisse distinguer plusieurs sons à la fois, il a quand même
ses limites. C’est ce qui explique, par exemple, les bruits parasites que l’on entend entre
deux postes de radio. Les signaux émis par les antennes radiophoniques, en effet, ne sont ni plus
ni moins que des ondes sonores transformées en ondes radios, que votre appareil capte
et retransforme en ondes sonores. Mais lorsqu’elle est syntonisée entre deux chaînes,
votre radio capte un bruit de fond, c’est-à-dire une multitude d’ondes radio relativement
faibles se trouvant pêle-mêle dans les environs, qui seront converties en un fatras
d’ondes sonores indiscernables par notre oreille.

Le «chhh» caractéristique que l’on perçoit alors s’appelle «bruit blanc», nom inspiré
par l’optique, où la lumière blanche est un mélange de toutes les couleurs. Et ce
n’est pas un hasard si les averses et les chutes d’eau produisent un son semblable :
lorsqu’un grand nombre de gouttes d’eau de tailles diverses tombent à des vitesses
différentes sur des surfaces variables, elles émettent le même genre de chaos sonore.

Un «yé!» collectif

Et c’est un peu le même phénomène qui donne sa voix à une foule. Mais attention,
avertit d’emblée Rémy Oddo, ingénieur du Groupe d’acoustique de l’Université de
Sherbrooke, il ne s’agit pas d’un bruit blanc pur avec une gamme de fréquences
aussi vaste qu’entre deux chaînes de radio. «On distingue quelque chose, une sorte de
“wé!” ou “yé!”, donc c’est coloré. (…) C’est un bruit blanc qui est filtré.»

En outre, poursuit M. Oddo, quand on crie, la voix devient plus aiguë, ce qui réduit
d’autant la fourchette de fréquences émises par la foule. Mais il reste tout de même une
certaine diversité de timbres qui, multipliée par 21 000 spectateurs, produit un son qui
ressemble un peu à celui d’une averse.



Autres sources :

LOUIS BLOOMFIELD. How Everything Works. Making Physics Out of the Ordinary,
Wiley and Sons, 2007

ASTRIG TOPOUZKHANIAN. La voix humaine, ses dysfonctionnements, sa prise en charge,
Orthophonie, CHU de Lyon,
http://www.chu-lyon.fr/inter net/rech_exp/expertise/paroles/pex10349462760.htm

descriptionDécouvertes  Humaines EmptyL'humanité aurait frôlé l'extinction

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L'humanité aurait frôlé l'extinction il y a 70 000 ans

Randolph Schmid
Associated Press
Washington

L'humanité a peut-être failli disparaître il y a près de 70 000 ans: la population des premiers
humains aurait pu diminuer au point de ne plus compter que 2000 individus avant de recommencer
à croître au début de l'âge de pierre, selon une étude génétique publiée jeudi.

«Cette étude illustre l'extraordinaire capacité de la génétique à révéler des aspects de certains des
épisodes clés de l'histoire de notre espèce», souligne dans un communiqué Spencer Wells, directeur du Genographic Project, lancé en 2005 pour étudier l'anthropologie à l'aide de la génétique.

«De minuscules groupes d'hommes primitifs, séparés par des conditions environnementales difficiles,
revenant du bord du gouffre pour se retrouver et peupler le monde. Un drame épique inscrit
dans notre ADN», résume le chercheur, membre de la National Geographic Society.

Des études précédentes utilisant l'ADN mitochondrial, transmis par la mère, ont permis de faire
remonter l'homme moderne à une unique «Eve mitochondriale» ayant vécu en Afrique
il y a 200 000 ans. Les humains auraient commencé à quitter l'Afrique pour peupler le reste du
monde il y a 60 000 ans, mais on sait peu de choses à leur sujet dans la période comprise entre
cette Eve originelle et cette grande migration.

La nouvelle étude, publiée dans le Journal américain de génétique humaine, a porté sur
l'ADN mitochondrial des peuples Khoi et San en Afrique du Sud, qui semblent avoir divergé d'autres
peuples il y a 90 000 à 150 000 ans.

Les travaux conduits par Doron Behar, du Centre médical Rambam à Haïfa, en Israël, et Saharon Rosset,
du centre de recherche d'IBM T.J. Watson dans l'État de New York, concluent que les humains
se sont séparés en petits groupes avant l'âge de pierre, période durant laquelle ils se sont rassemblés
et ont commencé à voir leur nombre augmenter et à gagner d'autres régions.

L'Afrique de l'Est a connu une série de graves sécheresses il y a 135 000 à 90 000 ans, qui ont
pu favoriser l'éclatement de la population humaine en petits groupes isolés qui se sont développés indépendamment les uns des autres, précisent les chercheurs.

«Qui aurait cru qu'il y a seulement 70 000 ans, des conditions climatiques extrêmes ont réduit
notre population au point que nous étions au bord de l'extinction?», commente le paléontologue
Meave Leakey, un conseiller du Genographic Project.

Aujourd'hui, la population mondiale s'établit à 6,6 milliards de personnes, selon le bureau du recensement américain. L'étude a été financée notamment par la National Geographic Society, IBM et des fondations américaines.

descriptionDécouvertes  Humaines EmptyRe: Découvertes Humaines

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