Le chum d'André Pelletier a été expulsé 2 fois pour ne pas avoir payé son loyer. Le tout en plus d'être alcoolique et de ne pas récupérer ses bouteilles.
L'un des propriétaires qui a dû expulser Daniel Breton a pris des photos de l'état dans lequel l'appartement a été laissé. Plus de 500 bouteilles de vins et de bières vides avaient été laissées dans l'appartement.
Le ministre de l’Environnement, Daniel Breton, traîne un passé de mauvais payeur. Il a été expulsé à deux reprises d’immeubles à logement parce qu’il ne payait pas son loyer, indiquent des documents administratifs consultés par TVA et le Journal.
En juin 2005, la Régie du logement a ordonné une premièrefois l’expulsion de M. Breton d’un logement de la 4e avenue, à Montréal, parce qu’il n’avait pas payé son loyer mensuel de 425 $ au mois de mai.
Son chèque avait «rebondi», a constaté le propriétaire. «Le chèque est retourné pour le motif qu’il n’avait pas suffisamment de fonds dans son compte», peut-on lire dans le jugement de la Régie du logement.
Le propriétaire, William Eagan, a demandé la résiliation du bail parce que M. Breton contrevenait ainsi à une première ordonnance émise par le tribunal le 26 novembre 2004.
Six mois après la signature du bail, le tribunal administratif avait ordonné à Daniel Breton de payer son loyer le 1er jour de chaque mois.
En plus de l’expulsion du mauvais payeur et de la résiliation du bail, la Régie a condamné M. Breton à payer à M. Eagan la somme de 425 $, plus les intérêts. M. Eagan attend toujours de voir la couleur de cet argent.
À ce moment, M. Breton était déjà directeur de l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA) de même que leader et porte parole de la coalition Québec-Kyoto.
De nouveau condamné
Plus récemment, en décembre 2009, Daniel Breton est de nouveau condamné par la Régie du logement. Cette fois, il a omis de payer pendant 13 mois le loyer de son logement de la rue Adam à Montréal.
La preuve démontre qu’il devait la somme de 6320 $, soit «le loyer des mois de novembre, décembre 2008 à décembre 2009», peut-on lire dans le jugement rendu par la régisseure Louise Fortin.
La régie a donc ordonné «l’exécution provisoire, malgré l’appel, de l’ordonnance d’expulsion.» M. Breton a aussi été condamné à payer la somme de 6 320 $ au propriétaire, Berthier Dubé. Le ministre de l’Environnement n’a toujours pas remboursé M. Dubé. La somme due atteint maintenant près de 8 000 $.
Daniel Breton, 40 ans, n’a pas eu des problèmes qu’avec la Régie du logement. Il a perdu son permis de conduire pour de multiples contraventions, notamment plusieurs excès de vitesse.
La Société de l’assurance automobile du Québec s’est toutefois pliée à une ordonnance de la Cour du Québec qui, à l’été 2011, a permis à Daniel Breton de conduire entre 7h et 21h. M. Breton a invoqué le fait qu’il était chroniqueur automobile pour conserver le droit de conduire. Il collaborait alors l’Annuel de l’automobile, à Radio-Canada et au Devoir à propos des véhicules verts.
http://www.journaldemontreal.com/2012/11/28/daniel-breton-expulse-a-deux-reprises
L'un des propriétaires qui a dû expulser Daniel Breton a pris des photos de l'état dans lequel l'appartement a été laissé. Plus de 500 bouteilles de vins et de bières vides avaient été laissées dans l'appartement.
Le ministre de l’Environnement, Daniel Breton, traîne un passé de mauvais payeur. Il a été expulsé à deux reprises d’immeubles à logement parce qu’il ne payait pas son loyer, indiquent des documents administratifs consultés par TVA et le Journal.
En juin 2005, la Régie du logement a ordonné une premièrefois l’expulsion de M. Breton d’un logement de la 4e avenue, à Montréal, parce qu’il n’avait pas payé son loyer mensuel de 425 $ au mois de mai.
Son chèque avait «rebondi», a constaté le propriétaire. «Le chèque est retourné pour le motif qu’il n’avait pas suffisamment de fonds dans son compte», peut-on lire dans le jugement de la Régie du logement.
Le propriétaire, William Eagan, a demandé la résiliation du bail parce que M. Breton contrevenait ainsi à une première ordonnance émise par le tribunal le 26 novembre 2004.
Six mois après la signature du bail, le tribunal administratif avait ordonné à Daniel Breton de payer son loyer le 1er jour de chaque mois.
En plus de l’expulsion du mauvais payeur et de la résiliation du bail, la Régie a condamné M. Breton à payer à M. Eagan la somme de 425 $, plus les intérêts. M. Eagan attend toujours de voir la couleur de cet argent.
À ce moment, M. Breton était déjà directeur de l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA) de même que leader et porte parole de la coalition Québec-Kyoto.
De nouveau condamné
Plus récemment, en décembre 2009, Daniel Breton est de nouveau condamné par la Régie du logement. Cette fois, il a omis de payer pendant 13 mois le loyer de son logement de la rue Adam à Montréal.
La preuve démontre qu’il devait la somme de 6320 $, soit «le loyer des mois de novembre, décembre 2008 à décembre 2009», peut-on lire dans le jugement rendu par la régisseure Louise Fortin.
La régie a donc ordonné «l’exécution provisoire, malgré l’appel, de l’ordonnance d’expulsion.» M. Breton a aussi été condamné à payer la somme de 6 320 $ au propriétaire, Berthier Dubé. Le ministre de l’Environnement n’a toujours pas remboursé M. Dubé. La somme due atteint maintenant près de 8 000 $.
Daniel Breton, 40 ans, n’a pas eu des problèmes qu’avec la Régie du logement. Il a perdu son permis de conduire pour de multiples contraventions, notamment plusieurs excès de vitesse.
La Société de l’assurance automobile du Québec s’est toutefois pliée à une ordonnance de la Cour du Québec qui, à l’été 2011, a permis à Daniel Breton de conduire entre 7h et 21h. M. Breton a invoqué le fait qu’il était chroniqueur automobile pour conserver le droit de conduire. Il collaborait alors l’Annuel de l’automobile, à Radio-Canada et au Devoir à propos des véhicules verts.
http://www.journaldemontreal.com/2012/11/28/daniel-breton-expulse-a-deux-reprises