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Sévices de police

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descriptionSévices de police - Page 2 EmptyRe: Sévices de police

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Un officier de la GRC impliqué dans une affaire de pédophilie

OTTAWA – Un officier de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) est l'un des coaccusés dans une affaire de pédophilie.

L'homme de 41 ans fait face à plusieurs chefs d'accusation, soit un d'agression sexuelle armée, trois de voies de fait graves, trois d'agression armée, un de séquestration et un autre d'incapacité à pourvoir aux besoins fondamentaux.

L'officier a été arrêté mardi à sa résidence, selon le Service de police d'Ottawa, qui a mené l'enquête.

Le suspect est détenu en attendant son enquête sous cautionnement, jeudi.

Une femme de 34 ans d'Ottawa est également accusée dans cette affaire. Elle fait notamment face à des accusations de voies de fait graves, d'agression armée et de séquestration.

L'identité des coaccusés ne sera pas dévoilée afin de protéger celle des victimes.



http://fr-ca.actualites.yahoo.com/officier-grc-impliqu%C3%A9-affaire-p%C3%A9dophilie-200334134.html

descriptionSévices de police - Page 2 EmptyRe: Sévices de police

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Je me demande bien ce que nos licheux de garcette, jaco44 et la névrosée à marie-jo auraient à dire là-dessus, eux qui sont convaincus que la police c'est comme dans 19-2... :Mat:


La mort de Christopher Dorner révèle au grand jour les problèmes du LAPD

Au 19e siècle, les mineurs avaient l'habitude de descendre au fond des mines de charbon accompagnés d'un canari pour mieux détecter la présence de gaz dangereux. Le système respiratoire de ces petits oiseaux est beaucoup plus sensible au méthane et au monoxyde de carbone que celui des humains. Lorsqu'un canari mourait, les mineurs étaient donc avertis du grave danger qu'ils couraient, d'où l'expression «comme un canari dans une mine de charbon».

Je crois que le policier Christopher Dorner est un de ces canaris. Cet homme bien armé et bien entraîné a réussi à semer la pagaille dans le sud de la Californie pendant sept jours. Pour le retrouver, des milliers de policiers ont effectué une chasse à l'homme avec des résultats mitigés. Mais que se serait-il passé si une milice de 10 ou 100 personnes bien armées et entraînées avait décidé de régler ses comptes de la même manière? Pour la police municipale de Los Angeles (LAPD), peu entraînée et incapable de faire face à la menace bien réelle du terrorisme local, la tournure des événements constitue un avertissement très sérieux.

Durant la chasse à l'homme, trois personnes innocentes ont été prises pour cible. Il s'agit de deux femmes et d'un homme de race blanche qui n'ont aucune ressemblance physique avec le suspect.

Les policiers qui ont tiré sur les deux livreuses de journaux ont criblé leur camion de 25 balles. Heureusement, leur incapacité à atteindre leur cible n'avait d'égal que leur incompétence à déterminer ce qui constitue une cible valide. Autrement dit, les deux femmes ont survécu.

La troisième victime de cette chasse à l'homme est un surfeur en route vers la plage, dont la camionnette a été emboutie par une voiture de police roulant à grande vitesse. Après l'impact, les deux patrouilleurs ont vidé leur chargeur sur la camionnette, sous prétexte qu'elle ressemblait à celle de M. Dorner. Encore une fois, la victime s'en est tirée indemne grâce à l'amateurisme d'agents incapables d'utiliser leur arme avec précision.

Dans les deux cas, les policiers ont omis de s'identifier, n'ont pas ordonné au conducteur d'immobiliser son véhicule et ont omis de transmettre quelque avertissement que ce soit. Ils ont tout simplement ouvert le feu. Si ces trois personnes étaient mortes, le LAPD aurait été responsable de presqu'autant de décès que le suspect qu'elle recherchait.

À ma connaissance, les seuls corps policiers qui fonctionnent de cette manière sont situés dans des pays sous-développés et sont généralement appelés «escadrons de la mort» plutôt que «représentants de la loi et l'ordre». Une telle menace à la sécurité d'humbles citoyens est tout simplement inacceptable. Après tout, les policiers ont pour responsabilité de protéger leur employeur, c'est-à-dire le public.

Christopher Dorner n'était ni un martyr, ni un héros. Il demeure le tueur présumé de quatre personnes innocentes. Toutefois, les allégations qui figurent dans son «manifeste» méritent un examen attentif, ne serait-ce que pour rétablir la réputation du LAPD.

Loin d'être de simples «ragots diffusés dans Internet», comme l'a affirmé avec dédain le chef du LAPD Charlie Beck, les propos de M. Dorner décrivent des faits précis - dates, lieux et noms à l'appui.

En voici une liste non exhaustive :

Le tueur présumé (Dorner) a été renvoyé du LAPD après avoir refusé de garder sous silence les mauvais traitements infligés à un homme souffrant de troubles mentaux. (Le témoignage du père de la victime souligne que les policiers lui auraient donné des coups de pied au visage et dans la poitrine, ce qui tend à confirmer la version de M. Dorner.)
Les policiers du LAPD s'amusent à photographier les cadavres avec leur téléphone, et jouent à celui qui prendra les clichés les plus horribles.
Les policiers apprécient particulièrement les «appels 187» (signalements de meurtre) car ils se traduisent par du temps supplémentaire grassement payé. Les personnes décédées sont donc affublées des surnoms VTT (véhicule tout-terrain), WaveRunner (une marque de motomarine), RV (autocaravane) ou, tout simplement, «vêtements neufs pour les enfants».
Des recrues auraient chanté des chants nazis glorifiant l'extermination des Juifs.
Les agents impliqués dans les scandales Rampart et Rodney King sont toujours en service, et certains d'entre eux sont même montés en grade.


Les documents relatifs à la comparution de M. Dorner devant le Comité de discipline du LAPD peuvent être consultés ici.

Qu'elles soient véridiques ou non, les allégations de M. Dorner ont eu un impact indéniable sur l'opinion publique. Un groupe de soutien créé il y a à peine sept jours dans Facebook a reçu plus de 16 000 mentions «J'aime».

Le fait que ces allégations soient prises au sérieux par le grand public devrait inquiéter le LAPD. M. Dorner a rendu l'âme, non sans avoir soulevé des problèmes extrêmement graves. Si nous décidons d'ignorer la mort du canari, ce sera à nos risques et périls.


http://quebec.huffingtonpost.ca/ike-awgu/la-mort-de-christopher-dorner-revele-au-grand-jour-les-problemes-du-lapd_b_2694498.html

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sont généralement appelés «escadrons de la mort»


C'est la mafia, et c'est ce que le manifeste de Monsieur Dorner décrit bien.

C'était un héros imparfait (anti-héros) qui a éliminé des déchets mafieux de los angeles, comme n'importe quel film hollywoodien en salle présentement.

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Arrestation musclée à Trois-Rivières: une vidéo compromettante


Nancy Massicotte
Le Nouvelliste

(Trois-Rivières) L'enquête sur détention d'Alexis Vadeboncoeur a été l'occasion de visionner pour la première fois, jeudi, la vidéo de l'arrestation du jeune homme de 19 ans le 2 février dernier.

On y voit en effet quatre policiers de Trois-Rivières asséner plusieurs coups de poing et coups de pied à l'auteur présumé d'un vol qualifié dans une pharmacie Jean Coutu. L'individu était alors couché face au sol, les bras écartés. Il venait de laisser tomber son pistolet à plomb. Les policiers avaient écrit dans leurs rapports d'événement qu'Alexis Vadeboncoeur avait résisté à son arrestation, que leur vie était menacée et qu'ils avaient dû utiliser la force nécessaire. Or, la vidéo montre clairement qu'en aucun temps, il n'a pointé les policiers avec son arme et résisté avec véhémence à son arrestation.

C'est l'agent de sécurité du Cégep de Trois-Rivières, témoin de la scène, qui a remis aux enquêteurs la vidéo de la fameuse intervention filmée par les caméras de surveillance de l'établissement. Les policiers Barbara Provencher, Dominique Pronovost, Marc-André St-Amant et Keven Deslauriers ont alors été suspendus avec solde. Leur travail fait l'objet d'une enquête de la SQ.

L'avocat du prévenu, Me René Duval, compare cette intervention policière à celle subie par Rodney King en Californie. «C'est la première fois au Canada qu'on voit une vidéo dans laquelle plusieurs policiers frappent un individu à ce point», a-t-il déclaré.

C'est d'ailleurs cet avocat qui a tenu à déposer en preuve ladite vidéo dans le cadre de l'enquête sur détention de son client. Pour lui, elle vient entre autres démontrer que la preuve de la Couronne comporte des faiblesses puisque ces policiers devront témoigner contre Vadeboncoeur au procès. «La preuve est entachée de mensonges et de complot. Ils ne sont pas crédibles», a-t-il ajouté.

Appelé à témoigner, le prévenu a raconté qu'il avait en effet subi des blessures au visage et à la tête, une fêlure d'une dent et que son poignet et sa cheville avaient été tordus. Le pire demeure toutefois les hématomes et les enflures des testicules. Les policiers l'auraient en effet frappé à cet endroit à plus d'une reprise. Une fois au poste de police, il n'a cependant pas osé se plaindre de ses blessures même si celles au visage étaient apparentes. «J'avais déjà été battu par des policiers au Mexique. Je pensais que c'était comme ça. Je n'ai pas osé chialer et demander un médecin», a ajouté Vadeboncoeur.

Or, la Couronne, représentée par Me Jean-Marc Poirier, a pris soin de rappeler que l'enquête sur détention portait sur un prévenu accusé de crimes sérieux. «S'il y a des conséquences qui doivent être données au niveau de l'arrestation, il y en aura mais pour l'instant, il n'y a pas de lien à faire avec le geste commis auparavant par le prévenu», a-t-il signalé.

Alexis Vadeboncoeur est accusé de vol qualifié, une infraction grave passible d'une peine minimale de quatre ans de prison, de braquage d'une arme à feu, de port de déguisement (cagoule), de possession de stupéfiants pour fins de trafic et d'entrave au travail des policiers.

Selon lui, la preuve est forte puisqu'il a été arrêté en possession des Dilaudid et de l'argent volé (plus de 1000 $), avec les vêtements correspondant à la description donnée par les victimes. Enfin, l'arme était à ses côtés.

Qui plus est, Me Poirier a pris soin d'insister sur les problèmes de drogue du prévenu. Ce dernier a admis être un gros consommateur de drogue, que ce soit du cannabis, de la cocaïne, de l'héroïne et des méthamphétamines. Au moment du vol, il consommait surtout des opiacés à tous les jours comme des dilaudid, de la codéine et de l'oxycondin. Le jeune homme a également des dettes d'argent, ce qui expliquerait le vol qu'il aurait commis ce soir-là. Pour toutes ces raisons, il s'oppose fermement à sa remise en liberté.

Me Duval a pour sa part suggéré au juge Jacques Trudel qu'il soit remis en liberté dès qu'il aura trouvé une place dans un centre de thérapie pour régler ses dépendances. Sur ce plan, la tâche ne serait pas facile semble-t-il en raison du manque de places dans les centres.

Le juge a donc suspendu l'enquête et remis le tout au 19 mars. Il prendra alors sa décision.

http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201302/21/01-4624124-arrestation-musclee-a-trois-rivieres-une-video-compromettante.php

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Force excessive et fausse déclaration !

Ça prend des accusations civiles et criminelles contre les policiers en question. Angry

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Ultimatum des policiers au maire Applebaum


Le maire Michael Applebaum a convoqué la presse pour dénoncer les menaces dont il est l'objet.

Le maire de Montréal, Michael Applebaum, a dénoncé vendredi des menaces de salissage qui auraient été proférées contre lui par la Fraternité des policiers de Montréal.

D'après le maire de Montréal, le président de la Fraternité, Yves Francoeur, l'a sommé, lors d'un appel téléphonique, de revenir sur une décision de son administration de modifier l'horaire de travail des policiers.

Selon les propos du maire Applebaum, Yves Francoeur l'aurait alors prévenu d'annuler la décision en question avant 18 h, vendredi soir, à défaut de quoi il serait l'objet d'une campagne de salissage personnelle de la part du syndicat des policiers.

Plus tôt, le chef syndical des policiers du SPVM aurait fait savoir au directeur des communications du maire que Michael Applebaum allait les avoir sur le dos s'il n'obtempère pas.

Michael Applebaum, qui a convoqué les médias pour dénoncer publiquement la situation, a expliqué que les relations sont tendues entre la Fraternité des policiers de Montréal et l'Hôtel de ville.

Le litige gravite autour de la décision de la Ville de mettre un terme à un projet pilote qui permettait aux policiers de travailler sur un horaire hebdomadaire de trois jours. Selon Michael Applebaum, ce projet a finalement dû être abandonné en raison des coûts supplémentaires et des difficultés administratives qui y sont liés.

« Je suis convaincu que les contribuables montréalais, dont la majorité travaille cinq jours par semaine, vont m'appuyer dans cette décision », a poursuivi le maire.

Michael Applebaum a assuré les citoyens qu'il ne céderait pas au chantage et à cet ultimatum.

Nous attendions toujours des réactions de la Fraternité des policiers de Montréal au moment d'écrire ces lignes.


http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2013/02/22/003-menace-applebaum-fraternite.shtml

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De quel droit un policier peut oser menacer un maire de la sorte? Pratiquement digne d'un pays du tier-monde, pratiquement comme si les policiers menacaient de formater un coup d'état

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Le puant à Yves Francoeur qui vient nous dire qu'il n'a fait que mentionner à Applebaum que s'il n'obtempérerait pas à ses demandes, la « marde » allait pogner et que si Applebaum a pris ça pour des menaces, il a la peau sensible.

Non mais ça prend-tu un espèce d'hypocrite pour venir nous dire ça, quand on sait très bien qu'un simple citoyen qui ose dire en présence de policiers que si telle ou telle chose ne se produit pas, la marde va pogner, il sera aussitôt accusé d'avoir fait des menaces.

Mais quand tu es policier, comme par hasard, ça ne compte plus pour des menaces.

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Bonjour

vous avez vu comme moi la vidéo des policiers de Trois-Rivières qui passent à tabac un suspect qui sera accusé de vol qualifié dans une pharmacie. J'aimerais avoir votre opinion la dessus si vous le voulez.

Sur la bande, on voit le suspect qui se couche en croix pour manifestement se rendre. Mais pas de son, c'est difficile de juger; en effet est-ce que le suspect aurait envoyé des insultes qui auraient provoquer les policiers? sais pas. Quoique il en soit, aucun policier ne peut s'en prendre physiquement à une personne sauf en cas de légitime défense. Je vous rappelle que le premier policier avait braqué une arme en s'approchant du suspect.

De plus après que les quatres policiers se sont mis à tabasser le suspect, deux autres s'approchent et ne FONT RIEN pour stopper le carnage. Peuvent-ils être accusés de complicité de voies de faits?

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Des journalistes de La Presse bousculés par le SPVM

Hugo Pilon-Larose
La Presse

Pour la deuxième fois en deux jours, des journalistes de La Presse ont été pris à partie par des policiers du SPVM. Mardi après-midi, l'agent Daniel Lacoursière, relationniste du SPVM, a poussé un de nos photographes qui filmait la manifestation étudiante.

Alors que le photographe et caméraman Frédéric Guiro se préparait à filmer une séquence avec le journaliste Jasmin Lavoie, à plus de 100 m de l'endroit où les policiers faisaient des arrestations, l'agent Lacoursière l'a agrippé par derrière et fait tomber sur le sol avec sa caméra.

La veille, M. Lacoursière était également intervenu auprès de M. Guiro: il lui reprochait de filmer les arrestations policières de trop près. «Ce qu'on voit sur nos images est inacceptable, encore plus de la part d'un policier censé s'occuper des relations avec les journalistes, a vivement réagi Éric Trottier, vice-président et éditeur adjoint de La Presse. On comprend que les policiers ont un travail difficile à faire durant les manifestations. Mais les journalistes aussi ont un travail à faire. En l'occurrence, notre équipe se tenait loin de l'action et le policier n'avait aucune raison de charger notre caméraman. J'ai demandé à nos avocats d'étudier tous nos recours.»

En fin de soirée, le commandant Ian Lafrenière, responsable de l'équipe des relations médias du SPVM, a confirmé qu'une enquête avait été ouverte. «J'ai demandé un rapport, je veux voir ce qui est arrivé», a dit M. Lafrenière.

Au printemps dernier, d'autres journalistes et photographes de La Presse avaient également été poussés. Hier, un caméraman du réseau CTV a aussi reçu un coup de matraque pendant qu'il filmait une intervention policière rue Saint-Denis.


http://www.lapresse.ca/arts/medias/201302/27/01-4625825-des-journalistes-de-la-presse-bouscules-par-le-spvm.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS2

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Une perle trouvée sur internet :


« Si les recrues devaient passer des tests psychiatriques avant d'être admis dans la police, ils ne trouveraient jamais assez de monde pour remplir les effectifs !

- Êtes-vous frustré ?
- Agissez-vous au nom de la vengeance ?
- Vivez-vous dans une culture de violence ?
- Les doormen des disco vous font-ils poireauter devant l'entrée ?
- Désirez-vous utiliser une arme à feu pour tuer du monde comme votre idole Bruce Willis ?
- À l'école, étiez-vous un BULLY ?
- Détestez-vous les populations démunies ?
- Votre livre de chevet est-il ''Mein Kampf'' ?

Si vous avez répondu OUI à une ou plusieurs de ces questions, bienvenue dans la police. »



Clap

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Pourquoi la police fait-elle peur au monde?

Ce qui est arrivé à la fin de la manifestation étudiante de mardi qui suivait le Sommet de l’Éducation me désole. L’ambiance était enjouée et calme jusqu’à 16 h. Près du métro Sherbrooke, des policiers ont reçu des boules de neige après avoir procédé à l’arrestation un peu musclée d’un manifestant.

Les policiers ont réagi encore une fois de manière nerveuse et exagérée. La pagaille s’est installée quand un groupe de policier en armures, matraques à la main, ont séparé la foule de façon violente. N’importe qui de sensé ne pouvait comprendre pourquoi des policiers répondaient à un problème (des balles de neige) avec un remède beaucoup plus dommageable (coups de matraque, brutalité, insultes, gaz lacrymogènes).

Quand on pense à tout ce qui s’est passé depuis un an (Victoriaville, Grand Prix, matricule 728, tabassage d’un délinquant à Trois-Rivières, etc.), ça mérite vraiment réflexion.

Il y a là un abus dans l’usage de la force et dans le langage qui semble décidément trop toléré dans une certaine culture policière.

Parlant abus de langage policier, j’ai reçu une lettre d’une citoyenne de mon quartier, Isabelle Grandjean envoyée aux journaux il y a quelques jours :

«Depuis des mois je n’ai plus aucune confiance en la police. Quand je vois un uniforme je me sens tout sauf en sécurité, plutôt un profond malaise, mêlé à de la peur.

M. Applebaum reçoit des menaces des policiers, le vendredi, au journal, Yves Francoeur, le président de la Fraternité dit : « Si, quand on est en négociation, dire à la partie patronale, si on s’entend pas, si on n’a pas de solution, dire que la marde va pogner, si ça, c’est des menaces, moé j’m'excuse, là, mais y’en a qui ont la peau mince. »

Ce langage rappelle Stefanie Trudeau, 728. Son arrestation ne doit pas faire oublier que les pratiques policières sont douteuses et doivent être enquêtées, leur formation analysée et revue…Si une «vedette» de la police s’exprime ainsi, pourquoi leurs subalternes ne feraient pas autrement? Comme si c’était la norme.

À Trois-Rivières avec une force inappropriée, des policiers frappent un homme à terre comme par réprimande… Pourquoi? D’où cela vient-il? »

Elle ajoute ceci :

« Les forces de l’ordre tiennent la population en otage : D’abord, elles utilisent dix fois plus de policiers que nécessaire pour faire le travail lors des événements … Puis elles provoquent les manifestants afin d’avoir de belles images de violence à placer dans les médias. Et finalement, la population apeurée réclame plus d’interventions et justifie ces dépenses aussi exorbitantes qu’inutiles. Loin de nous protéger, les forces de l’ordre nous arnaquent. »

J’ai acheminé ce message à Marc Parent, chef du Service de police de Montréal et aux responsables du ministère de la Sécurité publique. M. Parent avait promis que ces pratiques allaient changer, que les abus ne seraient plus tolérés. Mais ces changements tardent à se produire. Et les Montréalais continuent à subir.

La tragédie pour les Montréalais c’est d’être aux prises avec une administration corrompue, affaiblie et complètement déconsidérée à l’Hôtel de Ville de Montréal et une opposition (Vision comme Projet Montréal) qui semble agir comme si elle était menottée ou bâillonnée pour on ne sait quelle raison. Le gouvernement n’a rien fait non plus pour opérer le virage nécessaire pour ramener dignité et raison dans tout cela.

J’ai rencontré M. Parent en novembre dernier. Je ne crois pas qu’il soit d’accord avec le langage outrancier et indigne du président de la fraternité des policiers. J’espère qu’il ne l’est pas non plus avec la politique de déploiement exagéré et irrationnel qui coute des centaines de millions de dollars aux contribuables québécois.

Mais je me demande qui parmi les responsables va enfin comprendre et écouter le ras-le-bol des citoyens que j’entends à répétition, surtout depuis ces énièmes dérapages de policiers survenus aujourd’hui ou lors de l’arrestation du délinquant à Trois-Rivières.

Avec la meilleure volonté du monde Monsieur Parent ne peut agir seul. Mais nous espérons quand même qu’il saisisse l’importance de poser quelques gestes d’importance comme :

mettre fin aux procédures dilatoires qui retardent l’abandon des charges contre des citoyens innocents, comme dans le cas des quatre victimes de l’agent 728 ou de Didier Berry qui a vécu une situation similaire en octobre dernier.
de revoir au plus vite la politique couteuse et contre-productive de déploiements massifs des troupes policières à chaque occasion ( Grand Prix, manifs étudiantes, Sommet de l’Éducation).
d’appeler ses troupes à plus de discernement et de retenue, à plus de sang-froid et de courage pour éviter de mettre les citoyens en danger, car après tout la police est censée assurer protection et inspirer confiance et non semer la pagaille et faire inutilement peur aux citoyens.

http://www.quebecsolidaire.net/amir-khadir/articles/pourquoi-la-police-fait-peur-au-monde/

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Possible taupe au Service de police de Sherbrooke : Alex Therrien accusé

Alex Therrien, un agent du Service de police de Sherbrooke, a comparu jeudi après-midi au palais de justice de Sherbrooke. Il fait face à quatre chefs d'accusation pour avoir utilisé frauduleusement un ordinateur et le Centre de renseignements policiers du Québec, ainsi que pour avoir transmis de l'information à un tiers non autorisé.

Selon des informations obtenues par Radio-Canada Estrie, il aurait transmis des informations à un ou à des membres d'un groupe criminel.

L'homme de 38 ans a été arrêté vers 6 h jeudi et a été détenu au quartier général de la Sûreté du Québec à Sherbrooke, où il a été interrogé jusqu'à sa comparution.

Le policier compte plus d'une dizaine d'années d'expérience. Le personnel du poste de police où il travaillait a été informé à ce sujet jeudi matin.

Au terme de sa comparution, Alex Therrien a été remis en liberté, mais devra respecter de nombreuses conditions. Il reviendra en cour le 11 juin prochain pour la suite des procédures.
Les accusations

1. Entre le 3 novembre 2008 et le 5 décembre 2012, à Sherbrooke, district de Saint-François et ailleurs au Québec, a frauduleusement, directement ou indirectement, obtenu des services d'ordinateur, commettant ainsi l'acte criminel prévu à l'article 342.1 (1) a) du Code criminel;

2. Le ou vers le 28 septembre 2012, à Sherbrooke, district de Saint-François, ou ailleurs au Québec, a, étant fonctionnaire, commis un abus de confiance relativement aux fonctions de sa charge en rapport avec l'utilisation du Centre de renseignements policiers du Québec (C.R.P.Q.) afin de transmettre de l'information qui y est contenue à un tiers non autorisé, commettant ainsi l'acte criminel prévu à l'article 122, du Code criminel;

3. Le ou vers le 19 octobre 2012, à Sherbrooke, district de Saint-François, ou ailleurs au Québec, a, étant fonctionnaire, commis un abus de confiance relativement aux fonctions de sa charge en rapport avec l'utilisation du C.R.P.Q. afin de transmettre de l'information qui y est contenue à un tiers non autorisé, commentant ainsi l'acte criminel prévu à l'article 122, du Code criminel;

4. Le ou vers le 5 décembre 2012, à Sherbrooke, district de Saint-François, ou ailleurs au Québec, a, étant fonctionnaire, commis un abus de confiance relativement aux fonctions de sa charge en rapport avec l'utilisation du C.R.P.Q. afin de transmettre de l'information qui y est contenue à un tiers non autorisé, commettant ainsi l'acte criminel prévu à l'article 122 du Code criminel.

Réactions

Par voie de communiqué, la direction du SPS a expliqué que le policier avait été suspendu avec solde et qu'un rapport sera soumis aux autorités municipales afin de déterminer les suites à donner à ce dossier. Le conseil municipal se penchera sur la question lors de sa prochaine séance, le 15 avril.

Le maire de la Ville de Sherbrooke, Bernard Sévigny, s'est dit rassuré que l'on puisse mener une telle enquête à l'interne et arrêter un collègue.
« On a encore la capacité de réagir à l'interne, de s'auto-enquêter et quand il y a des irrégularités que l'on puisse y mettre un terme et prendre les actions en conséquence. C'est le volet qui est rassurant, mais pour l'image du corps de police, c'est tout de même difficile. » — Bernard Sévigny, maire de Sherbrooke

Le président du syndicat des policiers de Sherbrooke, Robin Côté, rappelle qu'Alex Therrien n'a aucune tache à son dossier depuis qu'il travaille au SPS.

« Comme n'importe quel autre citoyen, Monsieur a droit à la présomption d'innocence. On va laisser l'enquête se dérouler et la justice suivre son cours. Nous, au syndicat, nous n'avons jamais eu de dossier actif au nom d'Alex Therrien. Je suis donc doublement surpris. »

Qui est Alex Therrien?

Alex Therrien avait témoigné dans le procès civil qui opposait Pierre-Hugues Boisvenu et sa famille à la Ville de Sherbrooke en 2009. Le sénateur poursuivait la Ville pour avoir fait preuve de négligence dans l'assassinat de sa fille, Julie Boisvenu, survenu en 2002.

Le policier avait été le premier à intercepter Hugo Bernier, le meurtrier, au centre-ville de Sherbrooke dans la nuit du 23 juin 2002, près d'une heure avant le meurtre de Julie Boisvenu.

Après avoir vérifié son identité, Alex Therrien avait relâché Hugo Bernier qui s'était fait passer pour son frère Lucas. Le policier s'est toujours défendu d'avoir fait son travail correctement et n'avait pas de motif pour procéder à son arrestation à ce moment.

http://www.radio-canada.ca/regions/estrie/2013/04/04/003-arrestation-policier-sq-sherbrooke.shtml

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EXCLUSIF - En février dernier, un policier canadien oeuvrant au sein de la mission des Nations unies en Haïti (MINUSTAH) a quitté le pays après qu'une Haïtienne eut porté plainte contre lui pour agression sexuelle et voies de fait.


http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2013/04/21/008-ong-minustah-impunite.shtml

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Caroline d'Astous
La Presse

Se disant victime d'«abus policier» de la part d'agents du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) à la sortie d'un bar, Didier Berry vient de déposer une poursuite dans laquelle il demande des dommages de 235 459,39$.

«Le 24 octobre dernier, ma vie a changé. De mon point de vue, j'ai frôlé la mort. Je me suis fait battre, insulter, poivrer et j'ai perdu connaissance. Par la suite, on m'a même porté un coup aux parties génitales», décrit Didier Berry.

La requête aurait été signifiée le 24 avril dernier aux policiers impliqués ainsi qu'au SPVM, selon son avocate, Me Geeta Narang.

L'événement en question serait survenu à la sortie d'un bar, au petit matin, au coin de la rue Saint-André et du boulevard De Maisonneuve Est. Selon les explications de Didier Berry, il aurait été interpellé par les policiers au moment où il filmait l'arrestation d'un de ses amis.

«Aujourd'hui, je demande aux policiers de venir s'expliquer quel mal je faisais pour qu'ils me punissent. D'ailleurs, j'aimerais leur demander s'ils se substituent à la loi lorsqu'ils font des interventions punitives de la sorte», a-t-il lu dans une déclaration écrite présentée en point de presse, hier.

Selon le récit de Didier Berry, les policiers lui auraient donné des coups, en plus de l'avoir retenu à la gorge. Après l'altercation, il aurait été transporté à l'hôpital Notre-Dame. D'après le médecin, il aurait subi «entre autres un traumatisme crânien et des contusions musculaires», peut-on lire dans la requête introductive.

Didier Berry se plaint aussi que le SPVM ne lui donne pas accès aux images filmées par une caméra de surveillance lors de son arrestation. «J'ai le droit d'avoir accès à ces documents me concernant directement, comme la loi le stipule», dit-il.

À noter, le dossier est actuellement en révision devant la Commission d'accès à l'information, précise de son côté le commandant Vincent Richer du SPVM.

Sur le plan des accusations qui seront portées à l'égard de Didier Berry, le SPVM a indiqué que le dossier a été autorisé le 20 mars dernier et se trouverait actuellement entre les mains de la Cour, précise le commandant du SPVM.

http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-affaires-criminelles/201304/26/01-4645142-le-spvm-et-trois-agents-poursuivis-pour-brutalite-policiere.php

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Des policiers de la SQ dénoncent la «loi du silence»

Le policier Guy Simard, qui avait dénoncé la présence d'un bar clandestin au poste de la Sûreté du Québec de Bécancour et dont l'histoire avait fait beaucoup de bruit il y a un an maintenant, revient à la charge.

Dans une démarche concertée avec plusieurs collègues ayant vécu une histoire similaire, une pétition a récemment été lancée pour dénoncer la «loi du silence» qui règne à la Sûreté du Québec.

Au total, six policiers et retraités des forces de l'ordre sont à la source de cette initiative, pour laquelle l'objectif est de recueillir «plusieurs milliers de signatures».

Pour Guy Simard, le temps était venu d'agir concrètement. Depuis sept ans, le policier est hors-service et se livre à une bataille judiciaire contre l'Association des policiers provinciaux du Québec.

Selon l'agent, il s'agit de représailles directes. Cette situation découlerait, dit-il, de sa dénonciation d'actes illégaux et de l'existence de ce commerce d'alcool au sein des quartiers de la SQ.

À en croire sa version des faits, l'homme de 55 ans est tout simplement devenu persona non grata au sein du corps de police. «Je ne suis pas malade, mais ça fait sept ans que je suis chez moi, payé. Si ce n'est pas des représailles, ça, je me demande bien ce que c'est. La SQ est prête à débourser des centaines de milliers de dollars pour me garder à la maison», a-t-il confié en entrevue au Nouvelliste.

«Pour mes collègues, j'étais un suicidaire. Et j'étais un stool. Mais tout ce que j'ai dénoncé, c'est des choses qui étaient illégales», relance-t-il ensuite.

Conséquence de cet affrontement, Guy Simard est toujours devant la Cour supérieurepour faire valoir sa cause dont la valeur est évaluée à 800 000 $. Et ce combat semble difficile à mener.

«Pendant un certain temps, je l'ai regretté. Si je n'avais pas dénoncé, je serais aux enquêtes. J'aurais une belle vie. Maintenant, personne ne m'adresse plus la parole. Quand je croise des collègues, ils ne me disent même plus bonjour», explique-t-il.

Des demandes précises

De fait, c'est ce sentiment d'exclusion qui a mené ce groupe de policiers à se rassembler autour de cette pétition, notamment disponible en ligne et qui devrait être déposée à l'Assemblée nationale d'ici quelques mois.

Les demandes du groupuscule sont importantes. En effet, une commission d'enquête est exigée sur la question, en plus d'une modification de la Loi 14 et du règlement sur la déontologie et la discipline des membres de la SQ. La législation décourage tout simplement la dénonciation, estiment ces policiers.

Voilà pourquoi le gouvernement devra agir selon Mikel Grozarian, un policier de la SQ d'origine iranienne prétendant également subir les foudres de la SQ après avoir dénoncé des gestes à caractère raciste.

«Il faut que ça cesse. Il faut que la mentalité change chez les dirigeants de la Sûreté du Québec. On ne peut pas violer les chartes et les lois de cette façon», dit-il.

Mais c'est surtout le lien de confiance entre les policiers et la population qui est en jeu, croit Guy Simard.

«Les policiers sont là pour protéger le citoyen, non pas pour se protéger entre eux», conclut-il.

http://sqverite.com/index.php/article-divers/item/305-des-policiers-de-la-sq-d%C3%A9noncent-la-loi-du-silence

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Une policière atteinte par balle à Gatineau

Le Service de police de la Ville de Gatineau (SPVG) est toujours à la recherche du suspect qui aurait fait feu sur une policière lors d'une fête qui a mal tourné, samedi soir, dans un boisé en bordure de la rivière Gatineau.
Un large périmètre de sécurité a été érigé...

Un large périmètre de sécurité a été érigé près du 1885, rue St-Louis, entre l'avenue Gatineau et la rue Picardie, en début de nuit. La police était toujours activement à la recherche d'au moins un suspect.

Les policiers ont reçu un appel pour désordre impliquant deux groupes de jeunes rivaux, vers 22 h. Au moins une personne participant à la fête aurait été aperçue avec une arme à feu.

Une dizaine de minutes plus tard, à l'arrivée des policiers sur la rue St-Louis, un coup de feu a été tiré, blessant une policière à une jambe. L'agente, qui cumule trois ans d'expérience, a été transportée à l'hôpital, où elle a subi une intervention chirurgicale. Le SPVG a précisé qu'on ne craignait pas pour sa vie.

« Lors de l'appel d'urgence que nous avons reçu, on nous a indiqué que des personnes étaient en possession d'armes à feu », a indiqué le porte-parole de la police de Gatineau, Pierre Lanthier.

« Pour l'instant, on parle d'un coup de feu, mais il n'est pas impossible qu'il en ait eu plus d'un. »

Un large périmètre de sécurité a été érigé près du 1885, rue St-Louis, entre l'avenue Gatineau et la rue Picardie, en début de nuit.

Chasse à l'homme

Sachant qu'un homme se terrait toujours dans les bois, les policiers ont ratissé le secteur au petit matin, grâce notamment à un hélicoptère de la Sûreté du Québec.

Un homme de 20 ans a finalement été arrêté vers 5 h 30, alors qu'il tentait de fuir le périmètre de sécurité. L'enquête a démontré qu'il n'est pas le suspect recherché. Il demeure toutefois détenu puisqu'il était recherché par mandat d'arrestation dans un autre dossier.

Un second ratissage est alors effectué à l'aide de l'hélicoptère, sans succès. Les policiers sont d'ailleurs toujours à la recherche de l'arme à feu qui aurait servi pour blesser l'agente. Le périmètre de sécurité a été levé quelques heures plus tard.

Une trentaine de fêtards ont été conduits au poste de police durant la nuit, afin de permettre aux enquêteurs de faire la lumière sur cet incident. Ils ont tous été relâchés au courant de la journée d'hier, a confirmé le SPVG.

On en sait encore très peu sur le suspect. Les policiers n'ont pas encore été en mesure d'offrir une description de l'homme ou de la femme recherchée.

Les résidents réagissent

Des citoyens du paisible quartier résidentiel se sont dits inquiets de savoir qu'un homme armé est en cavale.

« L'an passé, ils ont mis le feu dans la forêt près de la rivière, là ils sont rendus avec des fusils, ça commence à être apeurant, disons », a souligné Suzanne Laudriault.

Selon un autre résident qui affirme avoir entendu « un seul coup de feu », Denis Boisvert, des dizaines de jeunes se rassemblent le long de la rivière pour y faire la fête tous les week-ends.

« Ce sont des jeunes de moins de 20 ans, affirme-t-il. C'est une soue à cochons. »

« Ils ne sont pas méchants. Ce ne sont pas des bums. Ils s'allument un feu et ils remontent. Ce qui s'est passé cette fin de semaine est exceptionnel. »

Le SPVG n'a pas l'habitude d'intervenir à cet endroit, a confirmé Pierre Lanthier.

http://www.lapresse.ca/le-droit/actualites/justice-et-faits-divers/201305/12/01-4650003-une-policiere-atteinte-par-balle-a-gatineau.php

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La policière se serait tirée elle-même dans la jambe. Clap


Detectives seize gun of Gatineau officer shot raiding bush party

Looking at possibility ‘she probably did that to herself’


OTTAWA — The Gatineau Police officer who was reportedly shot by a “gunman” while raiding a Saturday night bush party along the Gatineau River has had her gun seized by detectives now investigating a working theory that she in fact accidentally shot herself in the leg.

The officer, in her 20s and with three years on the job, apparently drew her gun shortly after 10 p.m., then ran down a hill only to accidentally discharge her 9 mm service pistol, with a round hitting her right leg, the Citizen has learned.

The officer then said she had been shot and needed assistance.

Moments later, three fellow officers carried her up the hill to an ambulance.

A source said that when a detective seized the officer’s gun at hospital, its magazine was short by one bullet.

The officer’s wound was apparently from a bullet that was fired down into her leg, prompting doctors and later police to think she had actually shot herself after unholstering her gun.

The officer’s police radio call for help made no mention that she had shot herself, and in turn, sparked a ground and helicopter search for a so-called gunman on the loose.

The massive police search, which included two forces and overtime expenses, failed to capture any gunman. The police search also failed to find a weapon at or near the scene. and police failed to identify any gunman after questioning 30 people who attended the bush party.

Police did not cordon off the area as a crime scene, a routine procedure even for domestic calls not involving guns.

The officer is still in hospital awaiting minor surgery, according to Gatineau Police officer Pierre Lanthier.

Lanthier said the wounded officer is still in “shock” and not yet ready to be interviewed about what happened. The police said Tuesday that they could not yet “confirm or deny” if the young officer shot herself and prompted an unwarranted search for a gunman that didn’t exist.

When asked how the theory of the officer shooting herself was raised, Officer Lanthier told the Citizen that the working theory was raised “after all the statements we got from police and witnesses.”

“We’re looking at the possibility that she probably did that to herself,” the officer told the Citizen.

The shooting happened in a wooded area between Rue Saint Louis and the Gatineau River, a popular spot for bush parties.

The police dispatched several cruisers to the scene after an unconfirmed complaint that a young man at the party had a gun.

That gun was never found, and police are no longer searching for any alleged gunman.

Meanwhile, the wounded officer remains in hospital surrounded by friends, family and colleagues while she awaits minor surgery, according to police.

The police have yet to publicly detail the shooting but say they will publicly announce if it was a self-inflicted wound or not once they fully investigate the shooting.

http://www.ottawacitizen.com/news/ottawa/Detectives+seize+Gatineau+officer+shot+raiding+bush+party/8382962/story.html

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Encore la police de Gatineau... scratch

Vidéo d'un policier de Gatineau s'injectant une substance : une enquête est ouverte

La police de Gatineau a ouvert une enquête après avoir été mise au fait de l'existence d'une vidéo montrant un de ses policiers se faisant injecter une substance non identifiée à l'épaule. C'est ce qu'elle a fait savoir, jeudi, par voie de communiqué.

Les enquêteurs de la division des normes professionnelles et des affaires internes du service de police ont reçu copie du document mardi. Une enquête a été lancée dès que la personne concernée a été identifiée comme faisant partie du corps de police.

Le service de police précise qu'il n'est pas en mesure de dire pour le moment si la substance injectée est illicite ou non. Il est par ailleurs trop tôt pour savoir si des mesures disciplinaires seront prises ou si une enquête criminelle aura lieu.

Entre-temps, le policier apparaissant sur la vidéo a été affecté à des tâches administratives.

Le service de police a informé le ministère de la Sécurité publique de la situation pour déterminer la suite des choses.

http://www.radio-canada.ca/regions/ottawa/2013/04/26/003-video-police-gatineau-enquete.shtml

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Quatre policiers, deux de la police de Montréal, et deux de la police de Longueuil, ont été arrêtés et vont comparaître par voie de sommation le 29 juillet prochain relativement à des infractions diverses, dont importation et trafic de stupéfiants et de stéroïdes.

Deux de ces policiers, Amir El Alfy, 33 ans, du SPVM, et Maxime Marcotte, de la police de Longueuil, étaient présents à Playa Del Carmen au Mexique lorsqu'un enquêteur de la police de Montréal a été sévèrement battu dans un bar en janvier 2011. Des détails au sujet de ces deux policiers ont été révélés lors de l'enquête sur cautionnement de deux individus accusés dans cette affaire, Shane Kenneth Maloney et Marc-André Lachance, mais ils sont frappés d'un interdit de publication.

El Alfy, un policier adepte de culturisme et ancien membre du groupe d'intervention, est accusé de vol de iPhone, recel, possession d'une arme prohibée, en l'occurrence un shuriken (étoile de ninja), et importation de drogue. Les événements reprochés sont survenus entre le 9 février et le premier mai 2012.

Son collègue du SPVM, Charles Lavallée, 34 ans, est accusé de trafic de substance et possession de haschisch. Les actes reprochés auraient été commis entre le 16 avril et le 4 juin 2012.

Les deux policiers de Longueuil également visés dans cette affaire, Maxime Marcotte et Olivier Roy, feraient face à diverses accusations, mais au moment d'écrire ces lignes, les dénonciations écrites n'étaient pas disponibles.

À la suite du passage à tabac d'un enquêteur du SPVM au Mexique, la Division du crime organisé de la police de Montréal a commencé une enquête et ciblé El Alfy et Marcotte. Mais durant celle-ci, les enquêteurs ont constaté de nouvelles infractions commises présumément par d'autres policiers gravitant autour des deux premiers.

Les quatre policiers sont suspendus sans solde depuis plusieurs mois. Ils le demeureront tant que les procédures judiciaires ne seront pas terminées.

http://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-affaires-criminelles/faits-divers/201305/22/01-4653361-quatre-policiers-arretes.php

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Accusé d'agression sexuelle sur une jeune femme de 20 ans, l'agent Jeffrey Greetham, du Service de police de Gatineau, a été acquitté mardi après-midi, presque deux ans jour pour jour après le début des procédures judiciaires.


Le policier de 45 ans était soupçonné d'avoir agressé sexuellement une jeune femme au printemps 2010, mais n'était pas en uniforme au moment des faits allégués.

Il avait d'abord été suspendu sans solde l'automne suivant, puis congédié quelques mois plus tard et ce, même si aucune accusation criminelle n'avait encore été déposée contre lui.

Puis, coup de théâtre en janvier dernier : la Cour supérieure du Québec a ordonné à la Ville de Gatineau de réembaucher immédiatement Jeffrey Greetham, licencié 23 mois plus tôt.
La direction réagit

C'est par le biais d'un communiqué laconique que la direction du Service de police de Gatineau a réagi, mardi après-midi, à l'acquittement de Jeffrey Greetham.

«Bien que cet acquittement mette officiellement fin aux procédures judiciaires en droit criminel, M. Greetham devra demeurer en retrait administratif tant que les démarches disciplinaires ne seront pas terminées. La Ville de Gatineau est en demande de révision judiciaire de la décision du tribunal administratif du Québec qui obligeait la Ville à réintégrer M. Greetham au travail jusqu'à ce que son procès criminel soit terminé. La révision sera entendue le 5 février 2014 devant la cour du Québec», peut-on lire dans le communiqué.

Puisque le processus de révision judiciaire est toujours en cours, la direction du corps policier gatinois s'est refusé à tout commentaire concernant ce dossier.
Passé trouble

Les récents démêlés judiciaires de l'agent Greetham embarrassent inévitablement le Service de police de Gatineau. D'autant plus que Jeffrey Greetham n'en est pas à ses premières frasques depuis qu'il a joint les rangs de ce corps policier.

En 1999, le comité de déontologie policière du Québec avait recommandé sa destitution pureet simple, après qu'il eut été surpris, en uniforme, durant ses heures de travail, se faisant faire une fellation par deux femmes dans un bar du secteur de Buckingham.

En appel, la cour du Québec avait toutefois changé la sentence de destitution pour une suspension de 40 jours, et la police de Gatineau avait dû réembaucher Greetham.

Quelques années plus tard, en 2003, le comité de déontologie policière avait reproché à l'agent Greetham d'avoir «manqué de jugement et fait preuve d'une ignorance inacceptable» pour avoir abusé de son pouvoir en arrêtant un jeune homme avec une force excessive sans motif raisonnable.

Il avait alors été suspendu sans solde pour une période de 23 jours.

http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2013/06/20130604-201343.html

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Admin a écrit:

La policière se serait tirée elle-même dans la jambe. Clap


Twisted Evil Sévices de police - Page 2 Policetb LMFAO

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LMFAO en esti !


Quand je pense qu'ils avaient dérangé toute la population des environs durant des jours à cause d'une nounoune qui ne sait pas comment se servir de son arme.

Et dire que ces épais-là payés à même nos taxes sont censés nous protéger. Rolling Eyes

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Denis Despelteau, ancien policier de haut rang de la Sûreté du Québec (SQ) aujourd'hui consultant en relations de travail, qui serait impliqué dans une nébuleuse affaire de détournement de fonds secrets de la police provinciale, a été inculpé hier, puis libéré.

Le sexagénaire est le premier domino à tomber dans ce dossier, qui ébranle les murs de la SQ. De sources policières, l'enquête pourrait connaître d'autres développements spectaculaires et remonter jusqu'au niveau politique de l'ex-gouvernement.

Denis Despelteau, qui en a longtemps mené large à la SQ en raison de ses appuis, jouait hier au chat et à la souris dans les couloirs du palais de justice pour échapper aux caméras. Sourire crispé, il n'a pas voulu commenter les accusations auxquelles il devra répondre.

Quatre accusations ont été déposées contre lui: abus de confiance, fraude et vol de plus de 5000$ au détriment du gouvernement et de la SQ, ainsi que fabrication de faux documents. Les faits se seraient déroulés en 2011 et en 2012.

Il doit respecter plusieurs conditions, dont un engagement sans dépôt de 500$, ne pas communiquer avec plusieurs personnes - dont plusieurs ex-collègues qui font aussi l'objet d'une enquête ainsi que le secrétariat du Conseil du Trésor -, rendre son passeport et demeurer au Canada.

M. Despelteau a été arrêté lundi dans le cadre de l'enquête sur des présumés abus de confiance et détournements de fonds secrets à la SQ. Il a été interrogé toute la journée et détenu jusqu'à hier.

Plusieurs personnes dans la ligne de mire des autorités

Au moins trois autres ex-policiers de haut rang sont dans la ligne de mire de l'équipe spéciale d'ex-membres de la SQ, du Service de police de la Ville de Montréal et de la Gendarmerie royale du Canada mandatée en décembre 2012 par le ministre Stéphane Bergeron pour faire la lumière sur ce dossier.

Il s'agit de Richard Deschenes, patron de la SQ évincé de son fauteuil en octobre dernier, avant le terme de son mandat, de Steven Chabot, ex-grand patron des enquêtes criminelles aujourd'hui à la retraite, et de Jean Audette, qui l'a remplacé en 2010.

Despelteau ne peut plus communiquer avec eux, ni avec Regis Falardeau - «déplacé» à la sécurité de Loto-Québec -, ni avec Alfred Tremblay, ex-inspecteur-chef.

Selon des informations obtenues par La Presse l'hiver dernier, le fonds secret destiné à payer des collaborateurs de police ou à financer des opérations spéciales dans le domaine des stupéfiants aurait été détourné, notamment pour rémunérer clandestinement leur ex-collègue.

Ayant d'importants démêlés avec le fisc québécois, M. Despelteau, qui avait la confiance de l'ex-ministre Jacques Dupuis, ne pouvait pas être, de ce fait, un «fournisseur» officiel du gouvernement. Revenu Québec lui réclame 168 241$. Il a récemment déclaré faillite, comme il l'avait déjà fait en 2007 à la suite d'une réclamation de Revenu Québec pour 234 715$ en impôts impayés. Il aurait aussi des problèmes de jeu. Autant de déboires connus au quartier général de la rue Parthenais.

En ce qui concerne le fameux «fonds d'opérations spéciales», toute dépense supérieure à 5000$ doit désormais être approuvée par le nouveau grand patron de la SQ, Mario Laprise.

- Avec la collaboration de Daniel Lessard et de Daniel Renaud
http://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-affaires-criminelles/actualites-judiciaires/201306/05/01-4657955-un-ex-policier-de-haut-rang-fait-face-a-quatre-accusations.php?fb_action_ids=611436255541394%2C610479115637108&fb_action_types=og.recommends&fb_source=other_multiline&action_object_map=%7B%22611436255541394%22%3A208721892609460%2C%22610479115637108%22%3A584702718241829%7D&action_type_map=%7B%22611436255541394%22%3A%22og.recommends%22%2C%22610479115637108%22%3A%22og.recommends%22%7D&action_ref_map=%5B%5D

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J'ai comme l'impression que ce sujet ne s'épuisera jamais car il ne se passe pas une seule semaine sans qu'on apprenne dans les médias un nouveau cas de sévice de police. Zolt

Au fait, où sont passés nos licheux de garcette, nos grands défenseurs de la police bouboum-bouboum ? Confused

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Filmé par mon cousin hier... 
arrestation musclée inutile sur le boul St-Laurent durant la foire commerciale (13-6-2013)

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Qu'est-ce qu'il a fait d'illégal au juste le Steve en question ?

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Le gars qui résiste à son arrestation est chanceux de ne pas être aux États-Unis où un policier de 6'5 300 livres se serait fait plaisir de lui fracturer l'épaule en le collant au sol.

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Une chose sûre,il n'a pas obtempérer quand la police lui a dit de mettre ses mains dans le dos.
 
Avec les policiers,on obéi d'abord et on s'explique après,simple logique.
 
Le type semble être un juif qui pense être au-dessus des lois et de l'ordre publique.Quand on pense qu'on est de la race des élus de dieu,on n'a pas de compte à rendre à personne.

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clement333 a écrit:
Le type semble être un juif qui pense être au-dessus des lois et de l'ordre publique.Quand on pense qu'on est de la race des élus de dieu,on n'a pas de compte à rendre à personne.


Quels caractères distinctifs ou traits particuliers te font dire qu'il semble être un Juif et supposons qu’il le soit (juif) quels sont tes arguments ou exemples, pour affirmer que les Juifs se sentent au dessus des lois?

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Je dit SEMBLE ,par son attitude.Un feeling comme cela.Il a la tête d'un israellien.

https://www.youtube.com/watch?v=3lIZIxldSDE 


https://www.youtube.com/watch?v=91nyzW4nEe8


http://www.quebecoisdesouche.info/index.php?spvm-les-policiares-doivent-seffacer-devant-les-juifs-hassidim


Un feeling comme cela...

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Very Happy
 
Une chance que tu n'as pas pris cette chanson,on aurait pût nous penser raciste...
 

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Maudit beau travail de sécurité de la part du policier... bravo chef ! Clap


Une cycliste de 37 ans, qui participait au triathlon de Lac-Beauport, a été victime d'un grave accident samedi matin.

La femme a été heurtée par une voiture, alors qu'elle circulait sur le chemin du Tour-du-Lac, près du Manoir St-Castin.

Le policier qui assurait la circulation à la sortie du stationnement du manoir auraiy demandé à l'automobiliste de patienter. Or, cette dernière s'est engagée, au moment même où la cycliste arrivait à pleine vitesse. L'athlète est venue percuter la voiture de plein fouet.

Pour l'organisation, la faute revient à l'agent de la Sureté du Québec, qui aurait levé une barricade avant la fin de la course. Plusieurs témoins abondent dans le même sens, mais le corps policier réplique que l'automobiliste s'est avancé sans permission.

La victime a dû patienter plusieurs dizaines de minutes avant l'arrivée de l'ambulance.

« La dame aurait une perte de conscience et il y aurait des problèmes au niveau crânien. Pas très importants, mais quand même au niveau crânien. Elle a été transportée au centre hospitalier », précise le superviseur ambulancier Jean-Denis Larocque.

Certains témoins de la scène remettent en question les mesures de sécurité et les services d'urgence mis en place dans le cadre de l'évènement.

http://www.radio-canada.ca/regions/quebec/2013/06/15/004-accident-route-lac-beauport-cycliste.shtml?Authorized=1&AuthenticationKey=2_58_d99c3dc3-38ed-4bcd-9eca-356d621a9e4e.pbhbjidlknogkamkfhhmeimahhiafcpfhgkohajkcpgpffamhagoggkfgfkndeeemlelepmhlkoneimahbidmmdbpaoghifmpblkghbdpjmbjkalihcaigcjhjmehcfhbadipacembpc

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Encore les bandits légaux !

C'est rendu qu'il ne se passe pas une semaine sans que ces puants censés protéger et servir fassent les manchettes pour les mauvaises raisons.


Trois policiers de la police de Montréal, dont deux officiers supérieurs, auraient été suspendus sans solde, et un quatrième, un commandant, aurait été déplacé ce matin, en raison d'une enquête de la Gendarmerie Royale du Canada.

Selon nos sources, cette enquête pourrait être liée au contrat qui avait été octroyé à l'entreprise de sécurité BCIA pour la surveillance du quartier général du SPVM, rue Saint-Urbain, par l'ancienne administration de la police.
Les trois policiers suspendus seraient l'inspecteur Jimmy Cacchione, responsable de la section du SPVM basée à l'aéroport PET, l'inspecteur chef Giovanni Di Feo, de la région ouest, et l'enquêteur Tony Bianco, également basé à l'aéroport PET.
Le quatrième officier déplacé serait le commandant Antonio Iannantuoni, nommé récemment à la tête de la Division des produits de la criminalité de la Division du crime organisé du SPVM.

L'un des quatre policiers suspendus serait le beau-frère de Luigi Coretti, ancien patron de BCIA.

- Avec la collaboration de Patrick Lagacé


http://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-affaires-criminelles/201306/17/01-4662248-trois-policiers-du-spvm-suspendus-sans-solde.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS3

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Croyez-vous qu'il a des chances de gagner ?

Alexis Vadeboncoeur poursuit les quatre policiers qui ont procédé à son arrestation, le 2 février dernier, ainsi que la Ville de Trois-Rivières pour une somme de 2,3 millions $.

Rappelons que  Vadeboncoeur avait été arrêté après un vol qualifié commis dans une pharmacie du boulevard des Récollets, à Trois-Rivières. L'arrestation, captée par une caméra de surveillance, avait montré le présumé voleur se rendre aux policiers en jetant son arme (un pistolet à plomb) au sol, avant de s'étendre sur l'asphalte, les bras en croix. Malgré tout, les agents l'avaient rudoyé à multiples reprises avec plusieurs coups de pied et coups de poing.

Ces images ont tourné en boucle dans plusieurs médias au Canada et même aux États-Unis.

Pour justifier l'utilisation de la force,  les agents avaient pourtant écrit dans leur rapport que le suspect avait résisté à son arrestation et que leur vie avait été menacée.

Les agents Marc-André St-Amant, 23 ans, Barbara Provencher, 39 ans, Kaven Deslauriers, 31 ans, et Dominic Pronovost, 42 ans, font d'ailleurs l'objet d'accusations criminelles relativement à cette affaire et ils ont été suspendus sans solde.

Ils sont accusés de voies de fait armées, voies de fait causant des lésions corporelles, utilisation d'une arme à feu de manière négligente, tentative d'entrave en cachant l'existence d'une vidéo, avoir fait des faux documents, contrefaçon de documents et entrave à la justice en fabricant des faux rapports.

Quant à Alexis Vadeboncoeur, âgé de 19 ans, il est accusé de vol qualifié, braquage d'une arme à feu, port de déguisement, possession de stupéfiants pour fins de trafic et entrave au travail des policiers.

Dans la requête introductive d'instance, Vadeboncoeur réclame 2,3 millions $ notamment pour blessures, atteinte à l'intégrité, atteinte à la dignité, dommages moraux et punitifs.

http://www.lapresse.ca/le-nouvelliste/justice-et-faits-divers/201306/20/01-4663376-arrestation-musclee-poursuite-de-23-millions-contre-les-quatre-policiers.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS2

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