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Sévices de police

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Par Daniel Renaud | Journal de Montréal

Deux policiers de Longueuil et deux autres de la police de Montréal ont été arrêtés ces derniers jours en raison de leurs relations avec des individus liés au crime organisé, a appris le Journal de Montréal.

Deux des quatre policiers, un de Longueuil et un de Montréal, ont été appréhendés dans la lignée des événements qui ont mené au passage à tabac d'un enquêteur du SPVM dans une boîte de nuit de Playa Del Carmen au Mexique en janvier 2011.


http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2012/06/20120614-181257.html

Dernière édition par Admin le Mer 04 Fév 2015, 22:14, édité 1 fois

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Non mais c'est-ti pas beau le milieu policier au Québec...

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Ici on dénote les crimes commis par nos bons amis les policiers, grassement payés à même nos taxes pour supposément protéger et servir ! scratch

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L'ex-policier Serge Lefebvre fait face à sept chefs d'accusation


L'ex-policier de Sainte-Foy Serge Lefebvre, appréhendé tôt jeudi dans le secteur de Cap-Rouge après un vol, a comparu en fin de journée au palais de justice de Québec.

L'homme âgé de 67 ans fait face à sept chefs d'accusation de vol et d'introduction par effraction. Les événements reprochés seraient survenus entre juillet 2011 et octobre 2012 dans des locaux commerciaux du secteur de Cap-Rouge.

L'ancien policier, qui a déjà purgé une peine de prison pour le meurtre de deux de ses collègues en 1985, a été arrêté jeudi matin au 4473 de la rue Saint-Félix, dans un centre communautaire de Québec. La police de Québec a procédé à son arrestation, au terme de plusieurs mois d'enquête.

Lors de sa comparution, Serge Lefebvre est demeuré impassible. La Couronne, pour sa part, s'est opposée à sa remise en liberté. Serge Lefebvre demeure détenu et devra revenir en cour le 12 novembre pour son enquête sur remise en liberté.

Surprise et consternation

L'arrestation de l'ex-policier Lefebvre sème la consternation notamment parmi ceux qui avaient travaillé pour sa libération, obtenue en 2003.
faq // Mise à jour technique
Les commentaires de Jacques-André Leclerc

Jacques-André Leclerc, un ancien collègue policier, ami et voisin du prévenu, qui a soutenu et aidé Serge Lefebvre après sa libération, est bouleversé par la nouvelle de l'arrestation. « Ça m'a vraiment désarmé, défait, parce qu'il me semble que c'était loin derrière. Même si on veut passer par-dessus ça, c'est un événement qui est arrivé il y a 27 ans, on a beaucoup souffert, en tant que policier, en tant que membre de l'État major, souffert en tant que collègue et souffert en tant que voisin. Avec les enfants et tout ça parce que ses enfants et nos enfants, il y avait des liens près », explique M. Leclerc.

Le directeur général de la maison La Vigile, qui vient en aide aux policiers en difficulté, est sous le choc. Jacques-Denis Simard avait témoigné pour la libération de Serge Lefebvre. « C'est une réaction de consternation, de tristesse aussi. Je pensais vraiment que ce monsieur-là avait fini, avait évolué et avait réglé ses problèmes. C'est ma première réaction, déception profonde. J'avais extrêmement confiance en ce qui avait été fait et je pensais vraiment que ses problèmes étaient réglés. »
L'arrestation de Serge Lefebvre rappelle de douloureux souvenirs notamment au sein des services policiers. Rappelons que le 3 juillet 1985, Serge Lefebvre avait abattu deux policiers de Québec, Yves Têtu, 25 ans, et Jacques Giguère, 43 ans qui l'avaient surpris en train de commettre un vol dans un entrepôt, au dépôt dentaire Canada limité, une entreprise du Parc industriel de Québec.

Deux jours plus tard, l'ex-sergent Lefebvre avait tenté de s'enlever la vie en se tirant une balle à la poitrine. L'homme qui a survécu à sa tentative de suicide a finalement plaidé coupable en avril 1986 aux accusations de meurtre qui pesaient contre lui.

Il a été condamné à la prison à vie sans possibilité de libération avant 25 ans. Cependant, sa bonne conduite et de nouvelles dispositions légales ont conduit à sa libération avant la fin de sa peine. L'ex-sergent Serge Lefebvre a été libéré en 2003 après avoir purgé 17 ans de sa peine d'emprisonnement.


http://www.radio-canada.ca/regions/Quebec/2012/10/18/003-arrestation-serge-lefebvre.shtml

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Policier de la SQ arrêté pour pornographie juvénile scratch


Un policier de Sherbrooke, âgé de 47 ans, a comparu mardi au palais de justice de Sherbrooke pour répondre à des accusations de possession de matériel de pornographie juvénile.

Le Service des affaires internes de la Sûreté du Québec a procédé à l'arrestation de François Blouin mardi. À la suite d'une perquisition effectuée à son domicile, du matériel informatique a été saisi pour être analysé par le Module technologique.

Les faits qui lui sont reprochés se sont produits entre novembre 2005 et octobre 2012. Il a été accusé de possession, de production, d'impression et de publication de pornographie juvénile.

L'homme est au service de la Sûreté du Québec (SQ) depuis une vingtaine d'années en Estrie. Selon le site Internet de la SQ, François Blouin est inscrit à titre d'intervenant en milieu scolaire pour l'année 2011-2012 pour la MRC du Haut-Saint-François.

La direction de la Commission scolaire des Hauts-Cantons doit rencontrer des responsables de la Sûreté du Québec mercredi matin. François Blouin a immédiatement été relevé de ses fonctions. Selon la porte-parole de la Sûreté du Québec, Aurélie Guindon, François Blouin n'exerçait plus dans les écoles depuis juin 2012.

Réactions à la Commission scolaire

« Nous n'avons jamais reçu de plainte d'élèves, de parents, d'enseignants au sujet des accusations qui sont portées contre cet homme. Nous n'avons jamais reçu de plainte tout court », soutient la porte-parole de la Commission scolaire des Hauts-Cantons, Annie Garon.

« C'est malheureux et innacceptable parce que c'est un policier. Ce n'est pas acceptable pour personne et encore moins quand ce sont des figures d'autorité », soutient le directeur de la polyvalente Louis-Saint-Laurent, où le suspect travaillait, Claude Giguère.

Cette enquête s'est amorcée à la suite d'une vérification effectuée par un service de police canadien qui a transmis les informations à la Sûreté du Québec.

L'homme a pris le chemin des cellules. Il reviendra en cour vendredi pour son enquête de remise en liberté.


http://www.radio-canada.ca/regions/estrie/2012/10/10/001-policier-arrete-pornographie-juvenile.shtml

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Excellent article : http://www.etaupolicier.com/letaupolicier-tome-3-details.php?id=4

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Le FBI suspecte un policier new-yorkais d'avoir voulu enlever, tuer et manger des femmes...

Un petit air du Silence des Agneaux planne sur l'affaire Gilberto Valle, un officier de la police de New York (NYPD) âgé de 28 ans qui prévoyait d'enlever, de violer, de faire cuire et de manger une centaine de femmes avec deux complices.

Sauf que Valle, arrêté le 24 octobre à New York, n'était pas encore passé à l'acte! L'homme se connectait illégalement à la base de données nationale de la police pour trouver des informations sur ses proies. C'est en surveillant ses conversations en ligne sur messagerie instantanée que les enquêteurs ont démasqué le policier, explique le site Gawker.

L'article de Gawker propose également un florilège des passages les plus effrayants des échanges entre les apprentis cannibales. Dans les extraits qui suivent, «CC» est l'abréviation de «co-conspirateur».

«CC-1: Quelle est la taille de ton four?

Valle: assez grand pour faire entrer l'une de ces filles si je plie leurs jambes... Le rapt devra être parfait... Je les connais toutes... Pour [victime numéro 1], je peux simplement me pointer devant chez elle sans prévenir. Je ne l'alerterai pas, et je pourrai taper à sa porte, attendre qu'il fasse nuit et la kidnapper.»

Autre extrait, dans lequel Valle propose de kidnapper la victime en échange d'argent pour un violeur.

«CC-2: assure-toi qu'elle ne meurt pas avant que je l'aie.

Valle: pas d'inquiétude. Elle sera vivante. C'est à une courte distance en voiture de chez toi. Je pense que je préférerais ne pas être impliqué dans le viol. Tu as payé pour elle. Elle est à toi et je ne veux pas être tenté la prochaine fois que je kidnapperai une fille.

CC-2: je comprends. Mais y a-t-il quelque chose que je puisse t'échanger qui pourrait baisser un peu le prix?

Valle: non rien du tout. Comme je l'ai dit c'est très risqué et ça ruinera ma vie si je suis pris. J'ai (...) Lire la suite sur Slate.fr


http://fr-ca.actualites.yahoo.com/new-york--le-policier-%C3%A9tait-un-apprenti-cannibale.html

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Deux policiers de Longueuil accusés de brutalité
Radio CanadaPar Radio-Canada | Radio Canada – mar. 27 nov. 2012



Un intervenant communautaire de Longueuil accuse deux agents du Service de police de l'agglomération de Longueuil de l'avoir brutalisé et blessé lors d'une intervention dans un centre pour sans-abri.

Les faits reprochés aux deux agents de police par Réjean Cormier se sont déroulés le soir du 11 novembre dernier, à l'Abri de la Rive-Sud, où M. Cormier était le responsable ce soir-là.

Selon sa version des faits, les deux policiers se sont présentés au centre à la recherche d'une personne en difficulté.

Sur place, M. Cormier relate leur avoir dit que la personne en question avait quitté les lieux une heure avant leur venue.

Les agents de police auraient alors exigé de consulter les registres et dossiers de l'établissement, ce à quoi s'est opposé Réjean Cormier, alléguant qu'ils ne détenaient pas de mandat pour accéder à ces documents.

C'est à ce moment que la situation aurait dégénéré. Selon M. Cormier, les policiers l'auraient alors plaqué au sol et immobilisé. L'intervenant, qui a eu l'épaule fracturée, aurait ensuite perdu connaissance.

« J'ai crié qu'ils m'avaient fait mal à une épaule. Ils me tenaient la tête au sol en continuant à me tenir le bras gauche dans le dos. J'avais mal et j'avais peur », a raconté M. Cormier lundi en conférence de presse.

À la police de Longueuil, on a demandé à la Sûreté du Québec d'enquêter sur ces faits par souci de transparence.

Le service de police de Longueuil maintient cependant que les agents étaient dans leurs droits et que leur intervention était légitime.

Les deux patrouilleurs sont maintenus en service jusqu'à nouvel ordre. Ils ont de leur côté déposé une plainte au criminel contre Réjean Cormier pour entrave au travail des policiers.


http://fr-ca.actualites.yahoo.com/deux-policiers-longueuil-accus%C3%A9s-brutalit%C3%A9-122810774.html

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Si l'incident n'a pas été filmé par une caméra ou un téléphone cellulaire, l'intervenant communautaire de Longueuil n'a aucune chance de gagner... Zolt

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À la police de Longueuil, on a demandé à la Sûreté du Québec d'enquêter sur ces faits par souci de transparence. Razz Razz Razz

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C'est dans une ambiance lourde et émotive qu'a débuté hier au palais de justice de Montréal le procès de Nancy Lauzon, policière du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) accusée d'avoir utilisé frauduleusement un ordinateur du service.

Mme Lauzon, 33 ans, a été arrêtée en février 2009, au lendemain de l'opération Axe au cours de laquelle ses collègues ont démantelé un réseau de trafiquants de stupéfiants composé notamment des frères Lavertue, des frères Zéphir et des Syndicates, un gang de rue à la solde des Hells Angels.

Les actes reprochés se sont produits le 12 octobre 2007, sur l'heure du dîner, au poste de quartier (PDQ) 15. Alors que sa coéquipière, Nathalie Thibault, était en congé, Nancy Lauzon a utilisé le mot de passe de cette dernière pour interroger la Centrale de renseignement policier du Québec (CRPQ) au sujet d'une plaque d'immatriculation qu'un individu venait de lui donner au téléphone. Le hic pour la policière, c'est que la plaque appartenait à un véhicule de filature du SPVM dont les occupants étaient en pleine action dans le sud-ouest de Montréal.

Une ordonnance de non-publication nous empêche de dévoiler les détails de l'opération de filature, mais la procureure de la Couronne, Me Marjorie Delagrave, a précisé dans sa déclaration d'ouverture que le père de la policière, Fernand Lauzon, a été arrêté lors de l'opération Axe. Son procès doit débuter en janvier.

Alerte instantanée

Il n'a fallu que quelques minutes pour que la direction de la police sache que la plaque d'un véhicule de filature avait été contrôlée à partir d'un ordinateur le 12 octobre 2007. Les policiers fileurs se sont aussitôt rendus au PDQ 15.

«Nancy Lauzon a dit que c'est elle qui avait enquêté la plaque. Elle était craintive et n'avait pas une attitude normale de collègue de travail. Elle a dit: «C'est ma mère qui m'a appelée, car elle a vu un véhicule rôder dans le secteur et elle était inquiète»», a dit hier le sergent détective Martin Vinet, selon qui leur véhicule de filature n'a jamais circulé près de la maison familiale des Lauzon.

L'ancienne coéquipière de l'accusée, Nathalie Thibault, a raconté avoir déjà donné son mot de passe à Nancy Lauzon lors de patrouilles, «dans le feu de l'action». Elle a déclaré que les deux femmes étaient des amies, mais qu'elles ne se parlent plus. «C'était devenu trop lourd à supporter», a dit la policière, en fondant en larmes.

Le procès devrait durer toute la semaine. Nancy Lauzon est suspendue sans solde depuis son arrestation.

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Cycliste gravement blessé dans une collision impliquant le SPVM


(ERIK PETERS/AGENCE QMI)MONTRÉAL – Un homme de 75 ans a subi d’importantes blessures à la tête après avoir été happé par une auto-patrouille du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), jeudi soir. L’enquête a été transférée à la Sûreté du Québec (SQ).

L’accident est survenu vers 20h45 à l’intersection des rues Berri et Roy, pour des raisons qui étaient toujours inconnues en début de nuit.

Le cycliste a été transporté à l’Hôpital général de Montréal. Il était dans un état sérieux, mais stable. Le policier a également été transporté dans un centre hospitalier par mesure préventive, mais il n’a subi aucune blessure.

Puisqu’un policier du SPVM est impliqué dans la collision, le ministère de la Sécurité publique a confié l’enquête à la SQ, par souci de transparence, en fin de soirée jeudi.

En début de nuit, les enquêteurs de l’Unité des crimes contre la personne, qui sont toujours responsables des enquêtes indépendantes, analysaient la scène pour tenter de comprendre ce qui s’est produit. Le policier impliqué avait également été rencontré.


http://fr-ca.actualites.yahoo.com/cycliste-gravement-bless%C3%A9-collision-impliquant-spvm-022249767.html

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Pépé sera sûrement accusé d'entrave au travail des policiers sur son lit d'hôpital...

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Longueuil : deux policiers sanctionnés pour racisme

Radio Canada

Le Comité de déontologie policière a ordonné la suspension de deux policiers de Longueuil pendant cinq jours, sans salaire, pour racisme.

Le Comité a conclu que les deux policiers n'avaient pas respecté leur code de déontologie et qu'ils avaient interpellé et détenu illégalement Joël de Bellefeuille. Le Comité a également établi qu'ils avaient été influencés par leurs préjugés à l'égard de la couleur de sa peau.

Les policiers ont écopé de deux sanctions concurrentes. La première a été infligée pour avoir agi de façon discriminatoire envers M. de Bellefeuille. La seconde sanction est liée au non-respect de la loi et à une absence de collaboration à l'administration de la justice.

Arrêté en juillet 2009 au volant de sa BMW, ce résident de Brossard a contesté les deux constats d'infraction qu'on lui a remis : un pour entrave et un autre pour non-possession des papiers d'assurances à jour.
Une longue bataille

La démarche entreprise par M. de Bellefeuille a duré trois ans. En septembre dernier, il avait eu gain de cause dans un jugement de la Cour municipale de Longueuil (un jugement obtenu après avoir interjeté appel en Cour supérieure, car la Cour municipale avait débouté une première fois le plaignant). Et cette fois, le juge Pierre-Armand Tremblay a reconnu qu'il s'agit d'un « cas flagrant de profilage ».

Le 4 décembre dernier, le Comité de déontologie policière a sanctionné les deux policiers impliqués dans cette affaire.

Joël de Bellefeuille qualifie le dénouement de « victoire ». « C'est une décision qui va aider les Noirs et d'autres communautés », a-t-il déclaré.

« Moi, j'ai un petit fils qui est mulâtre, je ne veux pas qu'il vive ce que j'ai vécu. J'ai une soeur adoptive, c'est une Chinoise et elle prote le nom de Bellefeuille aussi. Puis il y a plein d'autre monde qui sont de différentes origines », a-t-il expliqué.

Le Centre de recherche-action sur les relations raciales (CRARR) veut que cette décision serve d'exemple et que cette question de racisme soit prise en compte au Service de police de Longueuil et dans toutes les villes.

Le Commissaire à la déontologie policière reçoit une centaine de plaintes portant sur le racisme ou le profilage chaque année, c'est 5 % de l'ensemble des plaintes qui lui sont adressées.

Mardi, un autre cas sera entendu au Comité de déontologie policière.


http://fr-ca.actualites.yahoo.com/longueuil-deux-policiers-sanctionn%C3%A9s-pour-racisme-012014384.html

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Ministère de la Sécurité publique
L'ex-patron de la SQ visé par une enquête



L'ex-directeur général de la Sûreté du Québec ainsi que deux de ses anciens bras droits font l'objet d'une enquête criminelle à la suite d'allégations selon lesquelles ils auraient utilisé des fonds d'enquête de façon «inappropriée» et «non-conforme aux politiques de gestion».

L'ex-patron Richard Deschesnes, ainsi que l'ancien directeur-général adjoint aux enquêtes criminelles Jean Audette, tous deux toujours officiellement toujours actifs, ont été relevés de leurs fonctions.

Quant à Steven Chabot, lui aussi un ancien patron des enquêtes criminelles, il est actuellement à la retraite.

Selon les allégations, des dépenses provenant du fond spécial d'opérations auraient été faites de façon inappropriée. Il s'agit d'un fond secret destiné aux enquêtes secrètes et importantes.
Selon ce qui transpirait mardi de cette affaire, rien n'indiquait que ces fonds auraient été utilisés à des fins personnelles.

Mis au fait de ces allégations, le nouveau directeur de la SQ, Mario Laprise, a avisé le ministre de la Sécurité publique, comme le veut l'article 286 de la loi de police.

«Le ministre a mis en place un groupe d'enquêteurs civils et indépendant qui inclut des policiers retraités ayant de l'expérience en enquêtes criminelles», a indiqué le lieutenant Michel Brunet, de la SQ.

Selon nos informations, l'équipe est formée de membres retraités de la Sûreté du Québec et de la police de Montréal.
Collaboration

Ils seront appuyés par un procureur qui travaillera sous la gouverne de la Direction des poursuites criminelles et pénales.

La nouvelle a eu l'effet d'une bombe, mardi, dans le Grand quartier général de la rue Parthenais. Il s'agit d'un second coup d'éclat à la Sûreté du Québec, depuis le renvoi de M. Deschesnes, le 10 octobre.

Les trois personnes visées par l'enquête ont toujours eu une réputation irréprochable et étaient estimées de leurs collègues.

«La Sûreté du Québec va collaborer pleinement à cette enquête», a dit M. Brunet.


http://tvanouvelles.ca/lcn/infos/faitsdivers/archives/2012/12/20121211-230902.html

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Les trois personnes visées par l'enquête ont toujours eu une réputation irréprochable et étaient estimées de leurs collègues.

«La Sûreté du Québec va collaborer pleinement à cette enquête», a dit M. Brunet.


Ouais, ouais, me semble...

Ils étaient où, justement, ces sous-fifres "enculeurs de maringouins" à 130,000$ et + l'année, avant que Pauline Marois se débarrasse de leur "ripou" en "cheuf" ?

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Gabrielle Duchaine
La Presse

Pris à tort pour un voleur, un Montréalais a été violemment rudoyé par des policiers sur son propre terrain pendant qu'il sortait les ordures, il y a 10 jours. L'employé d'Hydro-Québec raconte avoir été mis en joue et plaqué au sol par six agents qui lui ont passé deux paires de menottes. Il s'en est tiré avec plusieurs contusions et un oeil tuméfié.

L'homme s'apprête à déposer une plainte en déontologie contre les policiers impliqués dans cette erreur. Malgré la méprise, le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) estime avoir usé de la force nécessaire dans les circonstances, car il affirme que l'homme a résisté.

Depuis le 4 janvier, Denis Cloutier est en congé de maladie. Sur le formulaire de la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST), le médecin a écrit qu'il a été victime d'un acte criminel. L'homme de 51 ans souffre de contusions à l'oeil gauche, au pouce gauche et à l'épaule gauche. Son poignet est marqué par une coupure. Et tout cela, dit-il, ce sont des policiers qui le lui ont infligé.

Dans la nuit du 3 au 4 janvier, le Montréalais est rentré chez lui après son quart de travail. Vers minuit, il est monté à son condo de la rue Casgrain et, toujours vêtu de son uniforme d'Hydro-Québec, est ressorti avec des sacs à ordures. Pendant ce temps, les forces de l'ordre sillonnaient le quartier à la recherche d'un voleur correspondant à sa description. Lorsque les patrouilleurs ont aperçu M. Cloutier, ils ont cru qu'il était l'homme qu'ils cherchaient.

«J'ai ouvert la clôture avant de mon terrain pour mettre les sacs sur le trottoir et j'ai vu la pointe d'un fusil devant mon visage, raconte-t-il. Puis, un homme s'est mis à hurler: "À terre! À terre! "» Sur le coup, Denis Cloutier dit ne pas avoir compris ce qui se passait. Puis, il a reconnu l'uniforme du policier. «J'ai levé les mains et j'ai dit que je n'avais rien fait. Il a continué à me crier de me coucher, alors j'ai mis les genoux et les mains au sol, explique le quinquagénaire. J'ai vu des ombres arriver en courant et une main a poussé mon visage dans la neige. La pression était tellement forte que je n'arrivais pas à respirer. Je pensais que j'allais mourir. J'avais de la neige dans la bouche, dans le nez, même dans les oreilles.»

Deux paires de menottes

Au terme de ce qui lui a semblé une éternité, il se serait retrouvé les mains liées par non pas une, mais deux paires de menottes. Les agents l'ont ensuite fouillé. M. Cloutier n'avait aucune arme sur lui.

Il raconte que les policiers l'ont finalement redressé sur ses pieds avant de le plaquer sur une des voitures de police. Ils l'auraient fouillé de nouveau avant de l'asseoir dans le véhicule.

«Ils m'ont demandé qui j'étais. J'ai répondu que j'habitais là.» Au même moment, son voisin, témoin de la scène qui s'est déroulée juste sous sa fenêtre, est sorti. «Je venais de reconnaître Denis, explique-t-il. Je n'en revenais pas. J'ai senti que c'était mon devoir d'aller les aviser que c'était lui. Je ne pouvais pas croire qu'il avait fait quelque chose de mal.» Après avoir identifié M. Cloutier, les agents l'ont libéré en lui disant qu'il avait été pris pour quelqu'un d'autre. Aucune accusation n'a été déposée contre lui.

Ébranlé, il est allé trouver refuge chez le voisin qui venait de le secourir. «Il était mal en point, raconte ce dernier. Il saignait et il avait l'oeil enflé comme un boxeur qui sort de 10 rounds.» Denis Cloutier s'est rendu sur-le-champ à l'hôpital, où un médecin lui a accordé trois semaines de congé de maladie. Le SPVM estime que ses policiers ont agi dans les règles de l'art lorsqu'ils ont immobilisé l'homme. «Il avait la même description que celui qui était recherché: environ le même âge et les mêmes vêtements. Quand les agents ont voulu l'identifier, il n'a pas collaboré du tout, affirme le sergent Laurent Gingras. Les policiers ont usé de la force nécessaire dans les circonstances et l'ont menotté pour leur propre sécurité.»

Denis Cloutier n'est pas du même avis. Il jure être resté poli pendant toute la durée de l'intervention. «C'est vrai que les policiers ont eu de la difficulté à me menotter, mais je ne suis pas souple, alors ils n'arrivaient pas à ramener mes bras derrière mon dos. Ce n'est pas une raison pour me blesser.» Son voisin, qui a vu une bonne partie de l'intervention, jure qu'il n'a perçu aucun signe de résistance de sa part.


http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice/faits-divers/201301/14/01-4611289-meprise-un-montrealais-est-rudoye-par-six-policiers.php

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Complètement découragée...

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C'est dur a défendre. Que ce soi une erreur sur la personne ou un criminel, l'apprehendē ne devrait pas souffrir de tant de blessures.

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Major Léa a écrit:
Complètement découragée...


Razz - On a finalement dévoilé un exemplaire de L'ENGIN EXPLOSIF qui avait terrorisé les policiers de Montréal-Nord lors des émeutes engendrées par la mort de Fredy "Pipo" Villanueva en aout 2008; suite à l'éclatement inattendu du colis suspect rempli d'air, les policiers de la STCUM s'étaient réfugié en panique derrière leurs voitures, et avaient immédiatement demandé des renforts de l'escouade tactique de la SQ, ainsi que des éléments du groupe anti-terroristes du 22ème Régiment de l'Armée Canadienne basé à Valcartier :

http://1.bp.blogspot.com/_rKvAmdl5y-8/TRomkbwHegI/AAAAAAAADRw/EtNN0RcQ2ww/s1600/lunch.jpg

Twisted Evil

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Lemzky a écrit:
les policiers de la STCUM

Les policiers de la STCUM ?

La STCUM (société de transport de la communauté urbaine de Montréal) est l'ancien acronyme de la Société de transport de Montréal, la STM.

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Vraiment drôle, comme la bombe puante dans le métro qui avait été qualifiée de terroriste!

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Admin a écrit:
Lemzky a écrit:
les policiers de la STCUM

Les policiers de la STCUM ?

La STCUM (société de transport de la communauté urbaine de Montréal) est l'ancien acronyme de la Société de transport de Montréal, la STM.


lol! - T'as ben raison Cyber ... MON ERREUR !! Je voulais dire SPCUM !! Twisted Evil

---> (Sévices de Police de la Communauté Urbaine de Montréal)

:Hat\'s off:

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Gabrielle Duchaine
La Presse

Un policier de la Sûreté du Québec (SQ) vient d'être suspendu de ses fonctions après avoir tiré à lui puis traîné au sol un homme de 85 ans qui dînait au restaurant, pour le ramener de force à son centre d'hébergement, a appris La Presse. L'octogénaire aurait perdu connaissance durant la brutale intervention.

Le Comité de déontologie policière, qui a imposé au policier une suspension de trois semaines et demie dans un jugement rendu cette semaine, n'est pas tendre envers lui. Il l'accuse d'avoir porté atteinte à l'intégrité physique, à l'honneur, à la dignité et aux droits fondamentaux de sa victime, en plus d'avoir utilisé un langage injurieux et d'avoir mis sa santé en péril.

«L'agent a fait preuve de manque flagrant de jugement et d'incompétence grossière. [Sa] conduite constituait en elle-même un risque pour la santé de monsieur, vu son âge, ne serait-ce qu'à cause des émotions fortes que cela lui faisait vivre», a écrit le comité.

L'histoire remonte à juin 2009. Yvon Trudel, alors âgé de 85 ans, était attablé dans un restaurant de Salaberry-de-Valleyfield, en Montérégie, tout près de la résidence pour personnes âgées où il habitait. Au même moment, l'agent Vincent Langlais, jeune patrouilleur de la SQ, a reçu un appel disant qu'un octogénaire qui n'avait pas la permission de sortir seul était recherché par les employés de sa résidence.

Il a rapidement repéré M. Trudel, qui attendait qu'on lui serve son dîner au restaurant Plaza Déli, qu'il fréquentait depuis 30 ans. Sans prendre la peine de vérifier que l'homme était bien celui qui manquait à l'appel, il s'est dirigé vers lui pour lui ordonner de le suivre. M. Trudel a refusé et affirmé qu'il voulait terminer son repas.

«Non, non, vous n'avez pas le temps de finir votre repas, c'est tout de suite que vous vous en venez», a répondu le policier.

Paniqué, M. Trudel s'est agrippé à la table et a crié: «Il n'y a personne qui va me sortir, je ne comprends pas la raison.»

Dans les pommes

Selon des témoins, Vincent Langlais a ensuite pris l'homme sous les bras pour le tirer hors de la banquette, avant de le traîner au sol. Ils ont raconté au Comité de déontologie que le vieillard était «tombé dans les pommes» à un certain moment.

Une employée du restaurant a pris sa défense en faisant valoir qu'il était un habitué, mais le policier l'aurait menacée de l'accuser d'entrave.

Yvon Trudel a finalement été raccompagné au centre d'hébergement, d'où il avait pourtant le droit de sortir. Peu après, il a fait un léger infarctus, puis sa santé a décliné. Il est mort en octobre 2009.

Selon la famille, l'attitude de l'agent Langlais a contribué à sa fin. «Il nous disait que ce qui lui était arrivé n'était rien, mais il sentait qu'il n'y avait plus de place pour lui, raconte son fils Gérald. Il a été discriminé à cause de son âge. Ce n'est pas acceptable.»


http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice/faits-divers/201301/17/01-4612108-policier-suspendu-pour-avoir-brutalise-un-octogenaire.php

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Dégueulasse, totalement DÉGUEULASSE !!!

Depuis le temps que je répète que ces pig sont autant sinon davantage à craindre que les bandits...

Et l'épais, le zouf, le deux d'pique à Fabi, le pion de nuit avec une belle voix qui vient nous dire après ça « arrêtez-moi ça la brutalité policière, voyons-donc ! » Evil or Very Mad

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C'est dégoûtant... Et les policiers-oppresseurs sont à la solde des droitistes de québec.

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Ce qui prouve que le jugement est souvent en option!

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Red Hat a écrit:
... les policiers-oppresseurs sont à la solde des droitistes de québec.


cheers

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Un policier oublie une bombe dans un avion d'Air Canada lors d'un exercice d'entraînement


VANCOUVER – Lors d'une séance d'entraînement pour chien pisteur, en janvier 2011, un policier du transport public de Vancouver a déposé un engin explosif dans un avion d’Air Canada, et l'a oublié dans l’appareil, mettant ainsi la vie du public en danger, a-t-on appris lundi.

Lorsqu’il a averti ses supérieurs de la situation, l’avion était déjà reparti en direction de Toronto.

Selon des documents obtenus en vertu de la Loi d’accès à l’information par la Fédération canadienne des contribuables (FCC), l’appareil a été inspecté à 14 occasions à Toronto pour s’assurer que l’engin explosif n’était plus dans l’avion.

«Pourquoi diable est-ce que la sécurité du transport en commun, responsable des parcours du SkyTrain, cache des explosifs dans un avion de ligne lors d’un exercice d’entraînement de chiens pisteurs?», a demandé Jordan Bateman, directeur de la FCC pour la Colombie-Britannique.

L’engin explosif n’aurait d’ailleurs jamais été trouvé, selon la Fédération. Selon elle, la police du transport en commun a fermé le dossier, plaidant qu’elle croyait que l’engin explosif avait été envoyé aux ordures et incinéré dans la région.

Selon la Fédération, une des personnes interrogées lors de l’enquête a dit avoir vu l’engin après l’exercice d’entraînement, et qu’elle l’avait laissé sur un siège de l’appareil pour que d’autres personnes en disposent. Mais «il n’y a aucune assurance de cela», indique le rapport de la sécurité du transport public.

L’incident n’a jamais été rendu public par la sécurité du transport en commun. Toutefois, selon la Fédération, un communiqué de presse avait été préparé en collaboration avec Transport Canada et l’aéroport international de Vancouver.


http://fr-ca.actualites.yahoo.com/policier-oublie-bombe-avion-dair-canada-lors-dun-201622645.html

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Deux policiers de Calgary en possible excès de vitesse pour se rendre à un Tim Hortons


Le Service de police de Calgary analyse de plus près une vidéo qui montre deux agents en possible flagrant délit de vitesse pour se rentre à un café Tim Hortons de la ville.

La vidéo, qui a fait surface sur YouTube, montre deux voitures policières à un feu rouge, l'une d'elles étant banalisée.

Quand les feux deviennent verts 37 secondes après le début de l'extrait, un des chauffeurs accélère pour arriver plus vite à un Tim Hortons.

« J'ai visionné la vidéo. J'ai remarqué les vitesses de deux véhicules policiers. Je ne pense pas qu'ils roulaient à 50 kilomètres par heure. Mais nous analysons l'une des voitures pour savoir ce que le chauffeur faisait et quelles étaient ses intentions à ce moment précis. Nous attendrons la fin de l'enquête », a expliqué Rick Hanson, chef du Service de police de Calgary qui assure que ses agents ont le plus haut niveau d'imputabilité.

Le chef Hanson ajoute que l'enquête est nécessaire, car les policiers parlent tout le temps de la sécurité routière et qu'il y a là une vidéo qui semble montrer une inconvenance.


http://www.radio-canada.ca/regions/alberta/2013/01/22/007-policiers-vitesse-calgary.shtml

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Admin a écrit:
Policier de la SQ arrêté pour pornographie juvénile scratch


Un policier de Sherbrooke, âgé de 47 ans, a comparu mardi au palais de justice de Sherbrooke pour répondre à des accusations de possession de matériel de pornographie juvénile.

Le Service des affaires internes de la Sûreté du Québec a procédé à l'arrestation de François Blouin mardi. À la suite d'une perquisition effectuée à son domicile, du matériel informatique a été saisi pour être analysé par le Module technologique.

Les faits qui lui sont reprochés se sont produits entre novembre 2005 et octobre 2012. Il a été accusé de possession, de production, d'impression et de publication de pornographie juvénile.

L'homme est au service de la Sûreté du Québec (SQ) depuis une vingtaine d'années en Estrie. Selon le site Internet de la SQ, François Blouin est inscrit à titre d'intervenant en milieu scolaire pour l'année 2011-2012 pour la MRC du Haut-Saint-François.

La direction de la Commission scolaire des Hauts-Cantons doit rencontrer des responsables de la Sûreté du Québec mercredi matin. François Blouin a immédiatement été relevé de ses fonctions. Selon la porte-parole de la Sûreté du Québec, Aurélie Guindon, François Blouin n'exerçait plus dans les écoles depuis juin 2012.

Réactions à la Commission scolaire

« Nous n'avons jamais reçu de plainte d'élèves, de parents, d'enseignants au sujet des accusations qui sont portées contre cet homme. Nous n'avons jamais reçu de plainte tout court », soutient la porte-parole de la Commission scolaire des Hauts-Cantons, Annie Garon.

« C'est malheureux et innacceptable parce que c'est un policier. Ce n'est pas acceptable pour personne et encore moins quand ce sont des figures d'autorité », soutient le directeur de la polyvalente Louis-Saint-Laurent, où le suspect travaillait, Claude Giguère.

Cette enquête s'est amorcée à la suite d'une vérification effectuée par un service de police canadien qui a transmis les informations à la Sûreté du Québec.

L'homme a pris le chemin des cellules. Il reviendra en cour vendredi pour son enquête de remise en liberté.


http://www.radio-canada.ca/regions/estrie/2012/10/10/001-policier-arrete-pornographie-juvenile.shtml

Pornographique juvénile
Le policier de la SQ François Blouin plaide coupable

Par Jean-François Desbiens | TVA Nouvelles

Le policier de la Sûreté du Québec (SQ) arrêté en octobre dernier à Sherbrooke pour possession de matériel pornographique juvénile a plaidé coupable ce matin. François Blouin a reconnu sa culpabilité à deux chefs de possession.

Lors de la perquisition effectuée à sa résidence, les enquêteurs du Module d'exploitation sexuelle des enfants sur Internet ont découvert dans ses ordinateurs 18 856 photographies et 3835 vidéos. Une partie du matériel avait été transféré sur des cd-roms, d'où l'accusation de production, accusation qui devrait être éventuellement abandonnée.

«Il est important que cette accusation soit retirée pour mon client, car la production de pornographie juvénile impliquerait qu'il a photographié ou tourné des vidéos d'enfants, ce qui n'est aucunement le cas», insiste Me Patrick Fréchette.

François Blouin a été démasqué lors d'une enquête d'envergure internationale; le nom du policier, qui comptait une vingtaine d'années de services à la SQ, figurait sur des listes de clients qui procédaient à l'achat de matériel pornographique en Angleterre et aux États-Unis.

Le policier sera bien entendu destitué à la fin des procédures. En liberté depuis novembre, il reviendra en cour le 17 avril pour les représentations sur sentence.

Depuis août dernier, le crime de possession de matériel pornographique juvénile est punissable par une peine minimale d'emprisonnement de 6 mois, la peine maximale est de 5 ans.


http://tvanouvelles.ca/lcn/judiciaire/archives/2013/01/20130130-103654.html

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C'est bien le pire des crimes à mes yeux

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Admin a écrit:
Gabrielle Duchaine
La Presse

Pris à tort pour un voleur, un Montréalais a été violemment rudoyé par des policiers sur son propre terrain pendant qu'il sortait les ordures, il y a 10 jours. L'employé d'Hydro-Québec raconte avoir été mis en joue et plaqué au sol par six agents qui lui ont passé deux paires de menottes. Il s'en est tiré avec plusieurs contusions et un oeil tuméfié.

L'homme s'apprête à déposer une plainte en déontologie contre les policiers impliqués dans cette erreur. Malgré la méprise, le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) estime avoir usé de la force nécessaire dans les circonstances, car il affirme que l'homme a résisté.

Depuis le 4 janvier, Denis Cloutier est en congé de maladie. Sur le formulaire de la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST), le médecin a écrit qu'il a été victime d'un acte criminel. L'homme de 51 ans souffre de contusions à l'oeil gauche, au pouce gauche et à l'épaule gauche. Son poignet est marqué par une coupure. Et tout cela, dit-il, ce sont des policiers qui le lui ont infligé.

Dans la nuit du 3 au 4 janvier, le Montréalais est rentré chez lui après son quart de travail. Vers minuit, il est monté à son condo de la rue Casgrain et, toujours vêtu de son uniforme d'Hydro-Québec, est ressorti avec des sacs à ordures. Pendant ce temps, les forces de l'ordre sillonnaient le quartier à la recherche d'un voleur correspondant à sa description. Lorsque les patrouilleurs ont aperçu M. Cloutier, ils ont cru qu'il était l'homme qu'ils cherchaient.

«J'ai ouvert la clôture avant de mon terrain pour mettre les sacs sur le trottoir et j'ai vu la pointe d'un fusil devant mon visage, raconte-t-il. Puis, un homme s'est mis à hurler: "À terre! À terre! "» Sur le coup, Denis Cloutier dit ne pas avoir compris ce qui se passait. Puis, il a reconnu l'uniforme du policier. «J'ai levé les mains et j'ai dit que je n'avais rien fait. Il a continué à me crier de me coucher, alors j'ai mis les genoux et les mains au sol, explique le quinquagénaire. J'ai vu des ombres arriver en courant et une main a poussé mon visage dans la neige. La pression était tellement forte que je n'arrivais pas à respirer. Je pensais que j'allais mourir. J'avais de la neige dans la bouche, dans le nez, même dans les oreilles.»

Deux paires de menottes

Au terme de ce qui lui a semblé une éternité, il se serait retrouvé les mains liées par non pas une, mais deux paires de menottes. Les agents l'ont ensuite fouillé. M. Cloutier n'avait aucune arme sur lui.

Il raconte que les policiers l'ont finalement redressé sur ses pieds avant de le plaquer sur une des voitures de police. Ils l'auraient fouillé de nouveau avant de l'asseoir dans le véhicule.

«Ils m'ont demandé qui j'étais. J'ai répondu que j'habitais là.» Au même moment, son voisin, témoin de la scène qui s'est déroulée juste sous sa fenêtre, est sorti. «Je venais de reconnaître Denis, explique-t-il. Je n'en revenais pas. J'ai senti que c'était mon devoir d'aller les aviser que c'était lui. Je ne pouvais pas croire qu'il avait fait quelque chose de mal.» Après avoir identifié M. Cloutier, les agents l'ont libéré en lui disant qu'il avait été pris pour quelqu'un d'autre. Aucune accusation n'a été déposée contre lui.

Ébranlé, il est allé trouver refuge chez le voisin qui venait de le secourir. «Il était mal en point, raconte ce dernier. Il saignait et il avait l'oeil enflé comme un boxeur qui sort de 10 rounds.» Denis Cloutier s'est rendu sur-le-champ à l'hôpital, où un médecin lui a accordé trois semaines de congé de maladie. Le SPVM estime que ses policiers ont agi dans les règles de l'art lorsqu'ils ont immobilisé l'homme. «Il avait la même description que celui qui était recherché: environ le même âge et les mêmes vêtements. Quand les agents ont voulu l'identifier, il n'a pas collaboré du tout, affirme le sergent Laurent Gingras. Les policiers ont usé de la force nécessaire dans les circonstances et l'ont menotté pour leur propre sécurité.»

Denis Cloutier n'est pas du même avis. Il jure être resté poli pendant toute la durée de l'intervention. «C'est vrai que les policiers ont eu de la difficulté à me menotter, mais je ne suis pas souple, alors ils n'arrivaient pas à ramener mes bras derrière mon dos. Ce n'est pas une raison pour me blesser.» Son voisin, qui a vu une bonne partie de l'intervention, jure qu'il n'a perçu aucun signe de résistance de sa part.


http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/justice/faits-divers/201301/14/01-4611289-meprise-un-montrealais-est-rudoye-par-six-policiers.php

Denis Cloutier vient justement de raconter sa mésaventure avec les bandits du SPVM à l'émission de Jean-Charles Lajoie.

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Cette affaire date de 3 semaine. Pourquoi Lajoie en parle aujourd'hui ?

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Un officier de la GRC impliqué dans une affaire de pédophilie

OTTAWA – Un officier de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) est l'un des coaccusés dans une affaire de pédophilie.

L'homme de 41 ans fait face à plusieurs chefs d'accusation, soit un d'agression sexuelle armée, trois de voies de fait graves, trois d'agression armée, un de séquestration et un autre d'incapacité à pourvoir aux besoins fondamentaux.

L'officier a été arrêté mardi à sa résidence, selon le Service de police d'Ottawa, qui a mené l'enquête.

Le suspect est détenu en attendant son enquête sous cautionnement, jeudi.

Une femme de 34 ans d'Ottawa est également accusée dans cette affaire. Elle fait notamment face à des accusations de voies de fait graves, d'agression armée et de séquestration.

L'identité des coaccusés ne sera pas dévoilée afin de protéger celle des victimes.



http://fr-ca.actualites.yahoo.com/officier-grc-impliqu%C3%A9-affaire-p%C3%A9dophilie-200334134.html

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