Scolarisation :
Contrairement à la croyance populaire vigoureusement propagée au Québec ; l’instruction à "l’anglaise" fait face, aujourd’hui, aux mêmes navrants résultats que celle à la "française" soit; autant d’individus irrécupérables (*) dont elle s’est montrée impuissante à corriger et/ou développer convenablement.
(*) Tous les mentalement et/ou psychologiquement faibles, dérangés ou troublés, les décrocheurs, les paresseux, les gars ou filles à "mouman", les cons, les idiots, les un peu lents et les génétiquement criminels.
Un "pas bon" c’est un "pas bon" (Profs inclus) et le restera peu importe sa langue maternelle, d’apprentissage ou utilisée dans son environnement quotidien ou celle de son député du Parti préféré.
Attachement :
Même si c’est psychologiquement normal d’afficher les couleurs du pays qu’on a, un jour, décidé de quitter définitivement (grands-parents d’Italie ou de Grèce/post-WWII) ; ça le devient pas mal moins quand on rejette, en bloc, tout ce que croient ceux qui nous ont si poliment reçus, même, après leur avoir déclaré, publiquement, la guerre. (Faut l’faire !)
C’est ben pour dire, tous ces descendants d'émigrants qui lèvent le nez (depuis 1963) sur le drapeau et la culture du Québec pour afficher "malhonnêtement" les couleurs de celui de la terre natale de leurs grands-parents n’y retourneraient (curieusement ?) pas pour tout l’Or du monde.