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descriptionSVP!  Ne me passe pas autre que du vrai Québec. EmptySVP! Ne me passe pas autre que du vrai Québec.

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SVP!  Ne me passe pas autre que du vrai Québec.


 Si d’aventure je vous d’écrit et je vous parle de La Tourtière du Lac St-Jean, La Route des Fromages et Canneberges du Centre du Québec, également du homard des Îles et des crevettes de Matane et non de moins encore je peux très bien parler de toutes les régions du Québec tout en trouvant au juste  leurs mets d’origines.  Pareillement et aussi comment s’est donc  transmis ce désir assidûment par la connaissance de cuisiner les produits de base d’ici? En connaissant bien nos origines, nous ne pourrons que mieux interpréter la cuisine du Québec qui est la nôtre. Déjà,  je vois la société distingue et le côté nationaliste unique que nous avons ici au Québec. La souveraineté alimentaire et même les appellations d’origines des lieux.

C’est justement un sujet que je veux aborder ici à RADIOFORUM.BIZ.

Je suis attristé par la mort de L’ancien Ministre de l’agriculture de Jean Garon PQ de voir qui n’a pas pu voir l’héritage de la reconnaissance de la terre à la table de notre possibilité des Appellations d’Origine Contrôlées et Protégées. N’ayant même pas vu de son vivant la reconnaissance des métiers alimentaires Culturels et Professionnels du MAPAQ en 2014 c’est vraiment très triste.  Parce que si nous avions les AOC et les AOP assurément nous aurions aussi la reconnaissance des métiers des saveurs Culturel et Professionnel qui eux ont une habileté garantie qu’ils connaissent le produit d’origine dont les caractéristiques sont essentiellement du milieu unique.

En France, il y a ce qu’il appelle la garantie élargie à l’ensemble des produits agricoles et alimentaire dans les recettes de génération en génération en France.  Comme exemple si tu veux manger un vrai de vrai bœuf bourguignon traditionnel tu dois avoir deux produits  le bœuf et le vin rouge car la Bourgogne étant réputée pour l’élevage des bovins et de ses vignobles emblématique de la cuisine bourguignonne et de son unique terroir.  Donc si tu fais un bœuf bourguignon avec du bœuf de l’ouest Canadien et un vin rouge de la Californie made USA et je suis certain que tu vas appeler ça un bœuf braiser.  La garantie élargie c’est que si tu fais un vrai bœuf bourguignon c’est ton boucher du coin aura la garantie du bœuf de Charolais et de la SAQ  l’un des vins du vignoble de la cote de Nuits ou de Beaune.  Tu ne peux pas vendre un produit que tu n’as pas.  Aujourd’hui, toute s’importe et exporte avec l’étiquette qui va avec son histoire.
Nous avons de l’histoire ici au Québec et nous pouvons faire  en sorte d’être distinct aussi.   Nous sommes dans la majorité d’origine Française encore pour un petit peu de temps mais ils nous restent à  conserver notre histoire, notre culture et notre patrimoine alimentaire.

Je parle de tout ça parce qu’il y a les festivals présentement au Québec comme le festival de la Gibelotte à Sorel, festival du Bleuet, festival du Cochon,  Festival de la Galette de Sarrasin, festival Agricole de Bauce et le festival de la poutine etc.  Présentement le festival de la Gibelotte de Sorel et l’origine de cette recette là est de la famille Beauchemin de son début.  La descendance de la famille Beauchemin encore vivante comme Colette ne fait pas la recette au festival, c’est un traiteur qui fait des bonne affaires sans faire la vraie recette car il ajoute des produits industriels pour son coefficient du rendement des matières premières industrielles.  Exemple base de poulet ou de bœuf industriel en poudre.  Autre exemple, légumes d’une autre provenance et j’en passe. Donc si comprend bien dans la liste des ingrédients je me demande bien qu’est ce qui vient réellement de la localité de Sorel comme produit.  La gibelotte vient du mot gibier et dans la recette rien n’est vraiment gibier.  Pourtant, Sorel par son emplacement de ses Îles du Lac St-Pierre par sa richesse en gibier, qui satisfaisait à toute subsistance de la Famille Beauchemin, d’une faune des eaux, faune des airs, faune des forêts et des champs furent mises largement à contribution de la recette. L’endroit riche en terre pour les légumes de sortes qu’ils ont complété avec leur épicerie personnelle local parce que toute est là. Le gibier de Sorel abonde encore comme le canard, l’outarde, des oies blanches ou grises et la perdrix toute ces parties et contrées sont en abondances en chasses.   Plusieurs sortes et d’espèce de poissons pour la pêche toute est là encore pour une vraie recette de gibelotte.  Je suis déçu de manger un produit qu’il n’est pas de la région et pourtant j’avais le gout de manger la saveur de Sorel mais il n’en n’est rien pour le moment.

Où est la garantie que je vais manger une vraie de vraie gibelotte?
La vraie reconnaissance du métier (Traiteur artisan).

Le traiteur cumule les savoir faire d’origine et même un certain doigté de tous les métiers de culinaire.  Le traiteur artisan est un commerçant qui se doit de valoriser ses produits locaux et rien d’autres.

La seule garantie que j’ai eu c’est le plaisir d’avoir vu des vrais québécois et la vraie québécoise sur scène qui ont déjà passé ici à Sorel pour faire leurs Noms d’artistes et ils et elle connaissent très bien les gens de Sorel car ils ont commencé par les petites boîtes et maintenant ils sont sur la grande scène.

 La vraie Marie-Mai, Les vrais Cowboys Frigants et le vrai Michel Pagliaro n’ont pas des interprètes comme à saveur d’eux mais ils sont les vrais auteurs artisans de leurs vraies saveurs d’artistes.  Un party réellement et uniquement  de Sorel et des participants aux Kiosques Locaux du vrai Sorelois.

   Prochain rendez vous ça sera le festival de la poutine avec du vrai fromage d’ici qu’il ne sera pas fabriqué en Ontario et à du moins j’espère qu’il fera Qouiqoui en bouche qui est fabriqué vraiment par le vrai grand Centre du Québec.

Dernière édition par lobbygouv le Dim 06 Juil 2014, 21:52, édité 1 fois (Raison : actualisé et à suivre)

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Hey lobbygouv, salut vieille branche !!!!    thumb up

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Yan a écrit:
Hey lobbygouv, salut vieille branche !!!!    thumb up


Salut mon Fan préféré qu'est que tu fais de bon ce temps ci?

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Ce que je crains avec ton idée, c'est qu'en foutant le gouvernement là-dedans, même si c'est dans un but honnête et légitime à la base, c'est que ça va tout simplement créer davantage de problèmes, de sur-réglementations additionnelles totalement inutiles, des augmentations de prix, de la création de bureaucratie gouvernementale inutile et de la lourdeur supplémentaires pour les producteurs d'ici !

Tu sais comme moi que dès que le gouvernement se christ le nez dans quelque chose, c'est toujours le bordel et au désavantage de tout le monde excepté pour la gang de vautours (des sales lobbyistes corporatistes) qui gravitent autour du gouvernement...

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lobbygouv a écrit:
SVP!  Ne me passe pas autre que du vrai Québec.


 Si d’aventure je vous d’écrit et je vous parle de La Tourtière du Lac St-Jean, La Route des Fromages et Canneberges du Centre du Québec, également du homard des Îles et des crevettes de Matane et non de moins encore je peux très bien parler de toutes les régions du Québec tout en trouvant au juste  leurs mets d’origines.  Pareillement et aussi comment s’est donc  transmis ce désir assidûment par la connaissance de cuisiner les produits de base d’ici? En connaissant bien nos origines, nous ne pourrons que mieux interpréter la cuisine du Québec qui est la nôtre. Déjà,  je vois la société distingue et le côté nationaliste unique que nous avons ici au Québec. La souveraineté alimentaire et même les appellations d’origines des lieux.

C’est justement un sujet que je veux aborder ici à RADIOFORUM.BIZ.

Je suis attristé par la mort de L’ancien Ministre de l’agriculture de Jean Garon PQ de voir qui n’a pas pu voir l’héritage de la reconnaissance de la terre à la table de notre possibilité des Appellations d’Origine Contrôlées et Protégées. N’ayant même pas vu de son vivant la reconnaissance des métiers alimentaires Culturels et Professionnels du MAPAQ en 2014 c’est vraiment très triste.  Parce que si nous avions les AOC et les AOP assurément nous aurions aussi la reconnaissance des métiers des saveurs Culturel et Professionnel qui eux ont une habileté garantie qu’ils connaissent le produit d’origine dont les caractéristiques sont essentiellement du milieu unique.

En France, il y a ce qu’il appelle la garantie élargie à l’ensemble des produits agricoles et alimentaire dans les recettes de génération en génération en France.  Comme exemple si tu veux manger un vrai de vrai bœuf bourguignon traditionnel tu dois avoir deux produits  le bœuf et le vin rouge car la Bourgogne étant réputée pour l’élevage des bovins et de ses vignobles emblématique de la cuisine bourguignonne et de son unique terroir.  Donc si tu fais un bœuf bourguignon avec du bœuf de l’ouest Canadien et un vin rouge de la Californie made USA et je suis certain que tu vas appeler ça un bœuf braiser.  La garantie élargie c’est que si tu fais un vrai bœuf bourguignon c’est ton boucher du coin aura la garantie du bœuf de Charolais et de la SAQ  l’un des vins du vignoble de la cote de Nuits ou de Beaune.  Tu ne peux pas vendre un produit que tu n’as pas.  Aujourd’hui, toute s’importe et exporte avec l’étiquette qui va avec son histoire.
Nous avons de l’histoire ici au Québec et nous pouvons faire  en sorte d’être distinct aussi.   Nous sommes dans la majorité d’origine Française encore pour un petit peu de temps mais ils nous restent à  conserver notre histoire, notre culture et notre patrimoine alimentaire.

Je parle de tout ça parce qu’il y a les festivals présentement au Québec comme le festival de la Gibelotte à Sorel, festival du Bleuet, festival du Cochon,  Festival de la Galette de Sarrasin, festival Agricole de Bauce et le festival de la poutine etc.  Présentement le festival de la Gibelotte de Sorel et l’origine de cette recette là est de la famille Beauchemin de son début.  La descendance de la famille Beauchemin encore vivante comme Colette ne fait pas la recette au festival, c’est un traiteur qui fait des bonne affaires sans faire la vraie recette car il ajoute des produits industriels pour son coefficient du rendement des matières premières industrielles.  Exemple base de poulet ou de bœuf industriel en poudre.  Autre exemple, légumes d’une autre provenance et j’en passe. Donc si comprend bien dans la liste des ingrédients je me demande bien qu’est ce qui vient réellement de la localité de Sorel comme produit.  La gibelotte vient du mot gibier et dans la recette rien n’est vraiment gibier.  Pourtant, Sorel par son emplacement de ses Îles du Lac St-Pierre par sa richesse en gibier, qui satisfaisait à toute subsistance de la Famille Beauchemin, d’une faune des eaux, faune des airs, faune des forêts et des champs furent mises largement à contribution de la recette. L’endroit riche en terre pour les légumes de sortes qu’ils ont complété avec leur épicerie personnelle local parce que toute est là. Le gibier de Sorel abonde encore comme le canard, l’outarde, des oies blanches ou grises et la perdrix toute ces parties et contrées sont en abondances en chasses.   Plusieurs sortes et d’espèce de poissons pour la pêche toute est là encore pour une vraie recette de gibelotte.  Je suis déçu de manger un produit qu’il n’est pas de la région et pourtant j’avais le gout de manger la saveur de Sorel mais il n’en n’est rien pour le moment.

Où est la garantie que je vais manger une vraie de vraie gibelotte?
La vraie reconnaissance du métier (Traiteur artisan).

Le traiteur cumule les savoir faire d’origine et même un certain doigté de tous les métiers de culinaire.  Le traiteur artisan est un commerçant qui se doit de valoriser ses produits locaux et rien d’autres.

La seule garantie que j’ai eu c’est le plaisir d’avoir vu des vrais québécois et la vraie québécoise sur scène qui ont déjà passé ici à Sorel pour faire leurs Noms d’artistes et ils et elle connaissent très bien les gens de Sorel car ils ont commencé par les petites boîtes et maintenant ils sont sur la grande scène.

 La vraie Marie-Mai, Les vrais Cowboys Frigants et le vrai Michel Pagliaro n’ont pas des interprètes comme à saveur d’eux mais ils sont les vrais auteurs artisans de leurs vraies saveurs d’artistes.  Un party réellement et uniquement  de Sorel et des participants aux Kiosques Locaux du vrai Sorelois.

   Prochain rendez vous ça sera le festival de la poutine avec du vrai fromage d’ici qu’il ne sera pas fabriqué en Ontario et à du moins j’espère qu’il fera Qouiqoui en bouche qui est fabriqué vraiment par le vrai grand Centre du Québec.



La gibelotte



Assiette de gibelotteAssiette de gibelotte

La traditionnelle gibelotte des îles

Il faut remonter à 1926 pour retrouver les origines de ce plat devenu le mets par excellence de la région de Sorel-Tracy. À cette époque, Berthe Beauchemin, une femme que l'on dit presque aussi légendaire dans les îles que le Survenant lui-même, est une des premières à commercialiser cette recette.

Au départ constituée de lard salé, de pommes de terre, de sel, de poivre ainsi que de sauvagine, une espèce de canard, la recette doit s'adapter à une nouvelle réalité une dizaine d'années plus tard : une loi interdit désormais la consommation de sauvagine. C'est pour cette raison que la barbotte – et la perchaude selon les endroits – fait son apparition dans la recette. Au fil du temps, d'autres ingrédients s'y greffent : maïs, tomates, carottes et oignons.

Malgré les variations qui existent, cette recette continue de faire le délice des gens de la région et de piquer la curiosité des visiteurs.

Cela explique sûrement le succès du Festival de la gibelotte qui a lieu chaque année depuis plus de 30 ans!


http://www.tourismeregionsoreltracy.com/vacances-quebec/specificites-locales/la-gibelotte.aspx

descriptionSVP!  Ne me passe pas autre que du vrai Québec. EmptyRequiem pour la gibelotte

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Maintenant, pour toi Clement333 je très heureux d’avoir repris mon sourire car ta source est excellente et c’est exactement là que tu as mis le doigt sur le bobo.   En plein dans le 900,  mais pas dans le mille. Est-ce que tu sais pourquoi ?  Donc pour être dans le mille 1000.  

C’est ici.

Requiem pour la gibelotte?
2014-03-01

Québec Science

La perchaude, poisson fétiche du lac Saint-Pierre, est de plus en plus rare. Subira-t-elle le même sort que la morue?

En cliquant sur le lien, vous aurez accès à « feuilletez-le ! ». Allez aux pages 26 à 30 pour y voir les photos (le texte est pratiquement lisible)... On y cite souvent Pierre Magnan et le dernier encadré est une entrevue avec Richard Carignan.




https://oraprdnt.uqtr.uquebec.ca/pls/public/gscw045a.afficher_detail_form_reponse?owa_no_site=1272&owa_bottin=N&owa_no_fiche=15&owa_no_form_reponse=20047&owa_apercu=N&owa_imprimable=N&owa_fenetre_surgissante=N&owa_lettre=%&owa_no_page=1


Bonne étude!

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lobbygouv a écrit:
Maintenant, pour toi Clement333 je très heureux d’avoir repris mon sourire car ta source est excellente et c’est exactement là que tu as mis le doigt sur le bobo.   En plein dans le 900,  mais pas dans le mille. Est-ce que tu sais pourquoi ?  Donc pour être dans le mille 1000.  

C’est ici.

Requiem pour la gibelotte?  
2014-03-01

Québec Science

La perchaude, poisson fétiche du lac Saint-Pierre, est de plus en plus rare. Subira-t-elle le même sort que la morue?

En cliquant sur le lien, vous aurez accès à « feuilletez-le ! ». Allez aux pages 26 à 30 pour y voir les photos (le texte est pratiquement lisible)... On y cite souvent Pierre Magnan et le dernier encadré est une entrevue avec Richard Carignan.




https://oraprdnt.uqtr.uquebec.ca/pls/public/gscw045a.afficher_detail_form_reponse?owa_no_site=1272&owa_bottin=N&owa_no_fiche=15&owa_no_form_reponse=20047&owa_apercu=N&owa_imprimable=N&owa_fenetre_surgissante=N&owa_lettre=%&owa_no_page=1


Bonne étude!




Merci pour l'info!


http://www.mern.gouv.qc.ca/publications/centre-du-quebec/depliant_perchaude.pdf

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Louis Belisle, vice-président de l'Association des producteurs de fraises et de framboises du Québec

Louis Belisle
« En coupant la certification[/size][/size], on voit les résultats cette année. Ça va prendre deux à trois ans avant qu'on retrouve les volumes de fraises qu'on avait avant au Québec »


Comme ces virus provoquent le dépérissement des plants et parfois même leur mort, certains producteurs n'ont pas de récolte de fraises cette année.
Selon l'Association des producteurs de fraises et de framboises du Québec, le ministère de l'Agriculture du Québec (MAPAQ) est à blâmer pour l'épidémie.


Avec ses 560 entreprises productrices de fraises, le Québec est la province productrice la plus importante à travers le Canada.
Il reste que certains prévoient un avenir plutôt sombre pour les fraises du Québec. « Si ça continue comme ça, dans un an ou deux, il n'y a plus personne qui va vouloir acheter des plants », appréhende M. Massé.

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