Dispute familiale à laval

Drame familial évité de peu
LAVAL — L’homme de 42 ans qui aurait tenté de tuer sa femme et ses trois enfants en mettant le feu au domicile familial, samedi soir, dans le secteur Duvernay à Laval, a comparu en cour, lundi après-midi.

La cause a toutefois été reportée à mercredi. Le suspect restera derrière les barreaux d’ici là.

La cause a toutefois été reportée à mercredi. Le suspect restera derrière les barreaux d’ici là.

Samedi soir, le père de famille aurait tenté de mettre le feu à sa maison du boulevard Lesage à l’aide d’un bidon d’essence. Sa femme et ses trois enfants, des jumeaux de deux ans et une fillette de six ans, se trouvaient à l’intérieur.

EN VIDÉO:
Drame familial: Simon Charest de la police de Laval

D’après Gisèle, qui réside en face du lieu où le drame s’est produit, la mère de famille aurait tenté de sortir de la résidence à plusieurs reprises avant de finalement échapper aux mains de son mari.

«Il l’a tirée par les cheveux deux ou trois fois pour la faire rentrer en dedans, a expliqué une résidante du quartier. Quand elle a fini par sortir, les quatre hommes qui passaient dans la rue l’ont aidé à ouvrir la porte du garage».

Selon la dame, l’un des hommes a alors arraché le bidon d’essence des mains du suspect.

«Il a pris le galon et l’a lancé dehors, a-t-elle ajouté. Le mari est ensuite parti à courir pour aller chercher un pied-de-biche. On aurait dit qu’il voulait frapper les quatre hommes. Après, la police est arrivée.»

Pour le voisinage, les quatre passants qui ont prêté secours à la mère de famille sont de véritables héros.

«S’ils n’avaient pas été là, le père aurait mis le feu à la maison… et à sa famille», a lancé une autre voisine de la famille, sous le couvert de l’anonymat.

Selon la police de Laval, l’homme pourrait faire face à des accusations de voies de fait, de menaces de mort et d’incendie criminel. Aux dernières nouvelles, la conjointe du suspect refusait toujours de porter plainte contre son mari.

http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2011/08/20110808-073716.html

Vous en voulez une bonne ? la madame aurait porté plainte contre les 4 jeunes.

Encore une fois, le syndrome de la femme battue!

http://fr.video.canoe.tv/video/drame-%C3%A9vit%C3%A9-%C3%A0-laval%3A-me-carole-marie-allard/1101061756001

MONTRÉAL – Le drame familial qui aurait été évité de peu à Laval, samedi, n’en est pas réellement un et a surtout été créé par les quatre jeunes hommes qui s’en sont mêlés, selon l’avocate de l’accusé.

« Les apparences sont trompeuses », a soutenu Me Carole-Marie Allard, mardi matin, en entrevue avec Claude Poirier au Vrai négociateur, à LCN. Défendre un client dans les médias n’est pas habituel pour un avocat, mais Me Allard tenait à rectifier certains faits, a-t-elle dit.

« Les passants ont eu leur heure de gloire [lundi] à la télé, a-t-elle affirmé. Mais s’ils ont réellement vu des allumettes dans la main de mon client, comme ils l’ont dit à la télé et à la police, ils ont besoin de lunettes. Je me demande si ces passants-là n’ont pas causé le drame familial. Un des jeunes a frappé mon client au visage. »

Samedi soir, les quatre jeunes hommes ont été appelés à l’aide, en pleine rue, par la conjointe de l’accusé. Une vive dispute semblait avoir lieu dans la résidence du quartier Duvernay. Une voisine a affirmé que peu avant, elle a vu l’homme tirer sa conjointe par les cheveux à l’intérieur de la maison. Lorsque les quatre passants sont entrés dans le garage de la résidence, à la demande de la présumée victime, ils ont trouvé l’individu avec un bidon d’essence dans les mains. La police est intervenue quelques instants plus tard et l’homme a été arrêté.

« C’est un malentendu, a affirmé Me Allard. Mon client occupe un poste important dans une grande entreprise de Laval et n’a pas d’antécédents judiciaires. Il adore ses enfants. Sa conjointe ne veut pas porter plainte. Il va avoir passé quatre nuits en prison et c’est un drame pour lui. »

« Je suis pleinement rassurée par sa version des faits », a indiqué l’avocate, qui a assuré ne craindre en aucune façon pour la sécurité de la famille.


http://news.google.ca/news/more?q=duvernay&oe=utf-8&rls=org.mozilla:fr:official&client=firefox-a&um=1&hl=fr&bav=on.2,or.r_gc.r_pw.&biw=1280&bih=607&ie=UTF-8&ncl=dzeXyFIt0GTitvMorW8THDK_oWQtM&ei=6ZJFTv-AL8PogQfjn-C2Bg&sa=X&oi=news_result&ct=more-results&resnum=2&ved=0CDQQqgIwAQ

Alors le mois du Ramadan est une excuse?

le travailleur a écrit:

Encore une fois, le syndrome de la femme battue!

A l`aime.....
sérieusement elle est probablement terrorisée par le gros débile et dépend de lui financièrement.
Lui a probablement défendu toute sa vie de sortir sans lui pour être sur qu`elle dépendait de lui a 100%

jaco44 a écrit:

le travailleur a écrit:

Encore une fois, le syndrome de la femme battue!

A l`aime.....
sérieusement elle est probablement terrorisée par le gros débile et dépend de lui financièrement.
Lui a probablement défendu toute sa vie de sortir sans lui pour être sur qu`elle dépendait de lui a 100%

Il me paraît important pour une meilleure compréhension du problème de la violence conjugale, vous référez à un article qui explique la vraie définition du Syndrome de la femme battue, parce que beaucoup pensent que cette expression veut dire qu'une femme tolère la violence qu'elle subit pour des raisons de dépendance affective et l'expression et/ou le préjugé souvent exprimé est de dire QU'ELLE L'AIME et qu'elle est prête a toléré a répétition cette violence.

Parce que dans la réalité, cette expression « Syndrome de la femme battue » est utilisée pour expliquer quand une femme tue son conjoint avec la certitude qu'elle n'avait pas d'autre choix (le tuer) pour qu'elle-même puisse, survivre.



Voici un article, qui explique simplement et clairement ce que veut vraiment dire l'expression « Syndrome de la femme battue »

http://www.csf.gouv.qc.ca/gazette/article.php?article=3107&recherche=&auteure=0&theme=15

Merci windigo, je vais éviter cette expression la prochaine fois.

... Le fait est que des vont quand meme etre accuser a cause d'une montee de lait d'un idiot.