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descriptionLes femmes policières sont-elles les responsables des crises majeurs ? EmptyLes femmes policières sont-elles les responsables des crises majeurs ?

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Je sais pas si c moi, mais mon entourage (dont un témoin)et moi avions effectivement tous entendu ces versions... ,mais comment ce fait-il, que les médias ont encore une fois changé les versions originales.



Dans le cas de Mtl-Nord, maintenant on parle d'un policier accusé, mais pourtant c n'était pas ce que les témoins avaient dit dès le début...



L'émeute de Montréal-Nord la cause

https://www.youtube.com/watch?v=u2qESclLyD8&feature=related



Pourquoi à la base, un conflit international si gros aurait débuté par une claque d'une policière??? Dans ma tête cette histoire c vraiment, mais vraiment pas clair... je vous pose la question parce que moi-même j'arrive pas à croire cette histoire... Surtout que nous savons combien l'OTAN en veut à l'Orient pour ses richesses et à ses dictateurs...


Crise du Moyent-orient:

Mardi 14 juin 2011 2 14 /06 /Juin /2011 13:44 Fayda Hamdi, la policière municipale qui a déclenché la révolution tunisienne. Leila Ben Ali a saigné le pays, mais on sait moins qu'une autre femme a provoqué la révolution en ce pays.



Interdit de commerce, le petit vendeur qui s'était immolé en Tunisie et qui a déclenché, par son geste, toutes ces révolutions au Moyen-Orient, n'avait pas seulement été empêché de commercer, il avait été humilié.


Mais par qui ?

En Tunisie, dans ce pays où les féministes ont très vite manifesté pour récupérer la révolution, c'est une femme, une « policière » municipale, Fayda Hamdi, qui aurait frappé le commerçant au visage :




Et si Mohamed Bouazizi n’avait jamais été giflé par l’agente municipale Fayda Hamdi, le 17 décembre 2010 en fin de matinée au centre de Sidi Bouzid. Et si Bouazizi ne s’était pas immolé devant le siège du gouverneur après avoir vainement protesté pour qu’on lui rende sa balance confisquée ? Le soir à l’heure de se coucher, dans son exil saoudien, Zine al-Abidine Ben Ali doit se repasser le film à l’envers. Et si… C’est aussi ce que doit se dire Hosni Moubarak, au fond du lit de son hôpital de Charm al-Cheikh. Maudite claque, maudite femme doivent pester Ali Abdallah Saleh, Bachar al-Assad et Muammar al-Kadhafi dans son bunker.

Sans Fayda Hamdi, ils seraient encore là, peinards, à siroter le pouvoir comme un cocktail sous les cocotiers. Au lieu de quoi, c’est le bazar, la révolution, la démocratie, tout ça… Plus encore que Mohamed Bouazizi, ce serait donc elle l’héroïne, qui a mis le feu aux poudres, allumé la mèche d’une révolte trop longtemps contenue qui a enflé, enflé jusqu’à balayer tout un pays puis une partie du globe. On devrait la féliciter, lui dresser une statue. Au lieu de cela, elle a été traînée dans la boue, traitée de tous les noms, à commencer par la propre mère de Mohamed Bouazizi, une paysanne pas commode, qui nous expliquait en janvier : «Ce n’était pas la première fois qu’on saisissait sa marchandise, mais se faire gifler par une femme, en pleine rue, ça l’a brûlé à l’intérieur. Chez nous, les Hamama [sa tribu], ce n’est pas acceptable.»

Ni mari ni enfant
Elle a suivi un mois de grève de la faim en prison pour gagner le droit d’être jugée. Ses doigts tremblent quand elle tient sa paume ouverte. C’est une femme simple, apolitique, religieuse et d’une désuète coquetterie. Le visage encadré par un voile beige est rehaussé par un rouge à lèvres brillant. Elle épile ses sourcils et affectionne les chemisiers à fleurs, les jupes longues à volants. Quand on lui demande ce que cela lui a fait d’être entrée dans l’histoire, elle répond : «Je n’y suis pour rien, c’est Dieu qui décide tout. Tout ce que je voulais, c’était rentrer chez papa et maman.» A 46 ans, Fayda n’a ni mari ni enfant, ce qui n’est pas très bien vu dans ce coin reculé de Tunisie. Même ses collègues, qui l’ont défendue depuis le premier jour, laissent entendre que cela peut expliquer sa sévérité envers les hommes lorsqu’elle est en service.

(...)

Me Basma al-Nasri est aussi énergique et vivante que Fayda Hamdi est effacée. Cette femme souriante au visage rond porte un voile orné de fils d’argent, des lunettes de marque et reçoit avec hospitalité dans son cabinet, qui donne sur la rue principale de Meknassy. «Je connaissais Fayda, ses parents sont mes voisins. Quand on m’a rapporté l’histoire de la gifle le jour même, j’ai été choquée. J’ai suivi le mouvement, je me suis laissée prendre par la révolution.» Ce n’est que début février que les parents de Fayda sont venus la voir, en désespoir de cause. Leur fille était à la prison de Gafsa, sans espoir d’être jugée, sans personne pour la défendre, sans honneur : la plupart des avocats contactés ont décliné quand ils n’ont pas réclamé des sommes astronomiques. «Ses parents assuraient qu’elle était innocente. Je suis allée chercher le dossier d’instruction à Sidi Bouzid. Et là, je me suis aperçue que rien n’avait été fait dans les règles. Le procès-verbal de police a été postdaté pour respecter les délais de garde à vue. Et lorsque Fayda a été présentée au juge d’instruction, il ne l’a pas informée qu’elle avait droit à un avocat.»



Sérieux là???? à cause d'un incident, une claque dans la face, le gars s,est immolé, les femmes ont hurlées et de la la grosse affaire vs Ben Ali??? put put put... euh.... Ça fait pas mal gros je trouve là... Les médias là sur ce coup du proche Orient, vous poussez là!!!

descriptionLes femmes policières sont-elles les responsables des crises majeurs ? EmptyRe: Les femmes policières sont-elles les responsables des crises majeurs ?

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Un message de plus que je n'ai pas lu... Zolt

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ManonLise a écrit:
Crise du Moyent-orient:


Quelle est la source du texte que tu présentes?... tu ne l'as pas indiquée.

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1er lien: http://www.liberation.fr/monde/01012342664-la-revolution-de-la-gifle

J'ai dû enlever une partie en raison que ça faisait long, mais e tout cas voici ce que j,avais retiré:

"Empêché de gagner sa vie, il a fallu que ce soit une femme qui le rabaisse en dessous de tout, et qui provoque son geste. La famille de Mohamed Bouazizi a pardonné à l'incriminée et a retiré sa plainte. Il est beau de pardonner. Il est mieux de punir avant et de révéler la vérité. Car cet incident est significatif d'un problème plus grave. Il semble que le cancer féministe ait bien gangrené ce pays arabe, de fond en comble.Il semble encore que Leila Ben Ali n'ait pas été la seule à dynamiter son pays, il faut encore que tous les rapports sociaux se soient féministés avec la douceur qu'on connaît aux féministes

Je ne lis pas que les journaux d'ici mais internationaux comme je disais....

Peut-être, autant que les Français, les Tunisiens ont-ils une autre révolution à mener, une révolution qu'ils ignorent encore...Par Léonidas Durandal "

Deuxième article: http://aimeles.over-blog.com/article-les-25-associations-feministes-de-la-grande-cause-nationale-2010-60222764.html



descriptionLes femmes policières sont-elles les responsables des crises majeurs ? EmptyRe: Les femmes policières sont-elles les responsables des crises majeurs ?

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