Les de Carey Price vont se faire beaucoup plus discret dans les prochains jours !
Halak For President !
Halak For President !
Lauditeur a écrit:Après la victoire de ce soir plusieurs des Fefans et des cheerleaders dans nos médias vont parler d'une victoire historique comme celle de la remontée de 5 buts contre les Rangers il y a 2 ans et vont commencer à parler d'une équipe qui peut se rendre loin en séries
Joe Bloe a écrit:Les de Carey Price vont se faire beaucoup plus discret dans les prochains jours !
Halak For President !
Zoltar a écrit:Tu devrais appeler Lemay ce matin pour lui dire...
Diane a écrit:Apres la conference de Laraque Gainey a admis que son acquisition etait son erreur à lui
Peter Jackson a écrit:1)On critique ceux qu'on aime! 1993, c'est par contre très loin déjà...Vous n'avez pas l'air à aimer les Canadiens sur ce forum.
Le OLÉ OLÉ OLÉ n'est pas un phénomène unique à Montréal puisqu'il a été chanté en coeur lors du match final entre le Canada et le USA aux olympiques de Vancouver.
Soyons fier de notre équipe et encourageons-les
Je suis d'accord que nous ne gagnerons peut-être pas la coupe Stanley, mais dans les séries tout peux survenir (blessures etc) Rappellez-vous de 1993
Peter Jackson a écrit:Le OLÉ OLÉ OLÉ n'est pas un phénomène unique à Montréal puisqu'il a été chanté en coeur lors du match final entre le Canada et le USA aux olympiques de Vancouver.
Cyberwing a écrit:Haha !
Hal Gill qui déclare que c'est par ignorance que les fans ont hué Carey Price car il n'y était absolument pour rien dans la défaite d'hier.
Par ignorance hahaha...
Et dire qu'ils se targuent d'être les meilleurs fans de la LNH alors qu'en réalité ce sont parmi les plus crétins de toute la ligue !
D'ailleurs, ils viennent très loin dans la liste des fans les plus intelligents de la ligue selon un récent sondage effectué auprès des joueurs.
Joe Bloe a écrit:Que des commentateurs de CKAC participent au Tailgate du CH prouve que cette station n'a plus aucune crédibilité !
C'est la radio du CH. La radio des fefans finis. Point !
La référence en hockey, c'est TSN et Sportsnet.
jaco44 a écrit:Ont va devoir en revenir un moment donné.
Le canadien est une équipe locale et CKAC est la radio de sport locale de Montréal.
C`est sur qu`ils sont une bande de `vendus`si le CH n`est pas TON équipe.
CKAC est le diffuseur officiel avec RDS.
Dois je ajouter quelque chose?
Ca veut dire que la radio locale qui diffuse les matchs des Bruins et qui participe au tailgate de l`équipe est une radio sans crédibilité?
Ils supportent leur équipe locale point.
zougandi a écrit:Bonne job L'Audi...Ron a joue la carte du gars qui connait ca la NHL... 100% d'accord avec toi sur les fefans...
gizmo a écrit:je suis un fan du ch adios 1
Lauditeur a écrit:zougandi a écrit:Bonne job L'Audi...Ron a joue la carte du gars qui connait ca la NHL... 100% d'accord avec toi sur les fefans...
Merci. Ron n'a pas du tout apprécié.
Lorsque j'essayais de lui faire comprendre qu'il y a juste a Montréal que les fans huent à chaque fois qu'un joueur vedette adverse touche à la rondelle, il m'a répondu qu'on faisait la même chose à Philadelphie et à Boston
Ensuite lorsque j'ai affirmé que Price n'avait pas fait les arrêts importants, il m'a dit que je ne connaissais rien et m'a rapidement flushé
Joe Bloe a écrit:Ça ne vole pas très haut quand t’es obligé de nommer des joueurs du CH pour éviter des comportements honteux de la foule !
colocolo a écrit:C'est mon premier message dans ce forum .Je ne suis pas d'accord avec les fans qui huent l'hymne État-Unien mais vu tous les pays envahis puis dominées par cet empire je ne me mets pas a pleurer.
Interventions et coups d’état en Amérique Latine:
(quelques rappels non exhaustifs – 50 dernières années)
Bolivie En 1964, la CIA chasse du pouvoir le président élu Victor PAZ. Motif : refus de soutenir la politique US contre Cuba. En 1967, des exilés cubains émargeant à la CIA exécutent sommairement Che GUEVARA. Dès lors, ce sont les USA qui désigneront régulièrement les dirigeants du pays.
Brésil En 1964, la CIA organise le renversement du président élu Joao GOULART et instaure une dictature qui sévira pendant plus de 15 ans. Escadrons de la mort, enlèvements et assassinats d’opposants, manifestations réprimées par l’armée, « crime politique » institutionnalisé. Motifs : positions indépendantes en politique internationale, refus des sanctions contre Cuba, plafonnement des profits que les multinationales peuvent sortir du pays, nationalisation d’une filiale d’ITT.
Chili Coup d’état du 11 septembre 1973, dirigé par la CIA. Augusto PINOCHET prend le pouvoir et engage le Chili dans de longues années de dictature. Des milliers d’opposants sont arrêtés, torturés, assassinés. Bilan : 3 000 personnes exécutées (bilan « officiel »), mais aussi des milliers de disparus et des dizaines de milliers de torturés. Motifs : nationalisation des mines de Cuivre et plus largement velléité de mise en place d’un « socialisme à visage humain » par le gouvernement d’unité populaire.
Colombie A la fin des années 90, la Colombie devient le troisième plus grand bénéficiaire des aides US dans le monde. Les assassinats d’opposants et de dirigeants syndicaux y sont monnaie courante. Des centaines de conseillers militaires US agissent en permanence dans de nombreuses bases installées en Colombie (stations radar, bases d’hélicoptères, etc.). Motif : la lutte contre les narcotrafiquants. Mais on découvrira en 1998, par exemple, sur la base US de Fort Lauderdale en Floride, 740 kg de cocaïne dans un avion militaire… Ce qui fera dire en 1999 au sénateur Patrick LEAHY : « on est en train d’assister à une politique de lutte anti-insurrectionnelle déguisée en politique antidrogue ». Dans un rapport établi il y a déjà plus de 10 ans par Amnesty International, on recensait plus de 20 000 personnes tuées depuis 1986 par l’armée et les groupes paramilitaires « non pas dans le cadre de la lutte contre la drogue, mais pour des raisons politiques ».
Costa Rica Nombreuses tentatives de renversement et même d’assassinat (par 2 fois) du président José FIGUERES dans les années 50, puis dans les années 70 où il sera réélu. Motif : premier pays d’Amérique Latine à établir des relations diplomatiques avec l’URSS (années 50), puis (années 70, opération Condor) jugé pas assez « dur » avec la gauche de son pays.
Cuba Coupable d’avoir commis la « révolution impardonnable », qui menace de donner le « mauvais exemple » à d’autres pays d’Amérique Latine, Cuba est soumis depuis 1959 à un embargo économique, à des tentatives d’invasion (Baie des Cochons), à des attentats et tentatives d’assassinats contre ses dirigeants, et même à des agressions bactériologiques ouvertement révélées par la presse des USA. Motif : ne pas donner à voir ce que pourrait donner une telle expérience non entravée.
Equateur Années 1960-1963. La CIA chasse du pouvoir le président élu José Maria VELASCO. Motif : refus de soutenir la politique US contre Cuba. Le successeur mis en place, jugé à son tour « trop mou », sera sommé de rompre toute relation avec Cuba sous peine d’être remplacé par un chef militaire. Il acceptera.
Grenade En 1983, une opération militaire US renverse le gouvernement de Maurice BISHOP, entraînant la mort de plusieurs centaines de civils sur cette petite île d’à peine plus de 100 000 habitants. Motif : menace pour la sécurité des USA.
Guatemala 1953 – le gouvernement élu de Jacobo ARBENZ est renversé par un putsch, dont il sera établi qu’il a été dirigé par la CIA. Début de 40 années d’exactions des « escadrons de la mort », qui feront plus de 200 000 victimes. Motif : orientation trop « progressiste » du gouvernement élu.
Haïti Interventions et ingérences permanentes de la CIA dans les affaires intérieures haïtiennes. Expéditions militaires et soutiens actifs à toutes les dictatures, troupes US installées en permanence à Haïti. Motif : île stratégique contre la menace marxiste.
Honduras Au début des années 80, le Honduras est investi par des milliers de soldats US, et transformé en une gigantesque base militaire. Motif : servir de base militaire aux opérations conduites par les USA en Amérique Centrale (Salvador, Guatemala, Nicaragua)…sans oublier la répression contre les opposants honduriens qui surnommeront leur pays le « porte-avions USS Honduras ».
Mexique De nombreux conseillers de la CIA, préparateurs militaires des forces spéciales US, interviennent directement dans la lutte contre les mouvements d’opposition mexicains (Chiapas, Oaxaca, etc.). L’aide militaire américaine comprend également des centaines d’hélicoptères et même des instruments de surveillance très sophistiqués permettant d’agir en zones de forêt dense. Tortures, massacres et forfaits d’une armée mexicaine et de groupes paramilitaires largement corrompus y sont ainsi supervisés de près. Motif : lutte contre le trafic de drogue.
Nicaragua Les USA conduisent pendant huit ans une guerre « totale » contre le régime Sandiniste qui avait mis fin à la dictature de Somoza, au travers d’une armée mandataire (les « Contras »), financée, équipée, entraînée et dirigée par les USA. Destruction des récoltes et des écoles, assassinats de villageois, pose de mines dans les ports, bombardements, rien ne sera négligé par ceux que Ronald REAGAN appela les « soldats de la liberté ». Motif : prévenir le risque d’un nouveau Cuba.
Panama En 1989, les USA envahissent militairement le Panama. Ses bombardiers n’hésitent pas à raser le 20 décembre un quartier populaire de Panama comptant près de 15 000 habitants. Le bilan de cette invasion militaire est estimé à plus de 3 000 morts. Motifs : capture du Général NORIEGA, ancien agent de la CIA, pour trafic de drogue, et renouvellement de la main mise sur le canal.
Pérou En 1965, les militaires des US construisent un « Fort Bragg » miniature dans la jungle péruvienne. De là partiront les escadrons chargés d’exterminer les groupes de guérilleros. A partir des années 90, tout cela sera renforcé par un flot continu de conseillers et d’instructeurs militaires US, ainsi que d’armes de toutes sortes, d’avions et de stations radar. Motif cette fois-ci : la lutte contre la drogue. Quatre officiers de l’Armée de l’Air US et des personnalités du plus haut rang seront pourtant arrêtés en …flagrant délit de transport de cocaïne.
République Dominicaine En 1963, le président Juan BOSCH est renversé. Motifs : réforme agraire, nationalisation de certaines entreprises, indépendance politique vis à vis de Washington. En avril 1965, une révolte populaire réclamant le retour du président exilé sera écrasée avec l’envoi de 23 000 soldats US.
Salvador Terrible guerre de répression menée sous l’égide de la CIA contre l’opposition salvadorienne, à partir de 1980. cette guerre se terminera officiellement en 1992 sur un bilan de 75 000 civils tués, et 6 000 000 000 dollars dépensés par le Trésor Américain.
Uruguay Durant toutes les années 70, la guérilla des Tupamaros fait l’objet d’une répression directement menée sur place par des experts US. Ils forment aux techniques d’assassinat, de torture, et de maniement d’explosifs des escadrons de la mort et même un véritable service de renseignement dédié. L’Amiral Eladio MOLL, ancien chef des services de renseignements uruguayens, donna devant une commission parlementaire une idée des méthodes que les Etats-Unis recommandaient au sujet des Tupamaros emprisonnés : « selon les instructions que nous reçûmes des Américains, nous devions extorquer coûte que coûte des informations aux guérilleros incarcérés qui, après cela, ne méritaient pas de rester en vie ».
jaco44 a écrit:Gang de caves qui huent l`hymne Américain et qui apres seulement 10 minutes de jeux se mettent a chanté l`osti de Ole,ole,ole,ole......Ch`pu capable.
le club donne un maudit bon show et c`est le fun a regarder jusqu`a ce que ces morons se manifestent.
colocolo a écrit:Je ne suis pas d'accord avec les fans qui huent l'hymne État-Unien mais vu tous les pays envahis puis dominées par cet empire je ne me mets pas a pleurer.
Interventions et coups d’état en Amérique Latine:
|
|