Juju a-t-il dirigé son dernier match à Beantown ?

Faut l'faire quand-même...

Perdre une série après avoir pris les devants 3-0 et en plus, perdre le 7ème match 4-3 alors que c'était 3-0 Bruins après 14:10 de jeu, sur une pénalité pour avoir eu trop de joueurs sur la glace de surcroît...

Sans doute l'un des plus grands effondrements de l'histoire de la LNH.

Julien n'a pas dû dormir de la nuit !

C'est un des pires scénarios de l'histoire du sport.

Mais Boston a beaucoup de choix au repêchage en banque pour les deux prochaines années.

Dont le 2e choix en juin prochain.

Mais ils sont pris avec le contrat de Tim Thomas !

Un seul mot: Ouch

C'est dommage pour les Bruins, on aurait eu une bonne série entre deux excellents gardiens (Rask vs Halak). Je pensais que cette année il n'avait jamais été aussi près d'accéder à la finale...

Ce qui fait le plus mal c'est l'avance de 3-0 chez toi à Boston et prendre 4 buts

Julien est un excellent coach, il n'avait visiblement plus l'équipe pour rivaliser avec Philly avec la perte de Krecji...

Tant qu'à moi son choke est beaucoup moins pire que celui de Bruce Boudreau...

@ Cyberwing

Vous êtes sûr de ne pas vous être trompé d’image ou de coach à ridiculiser ?

Pour moi, quand je vois Bill Dauterive et qu’on discute d’effondrement; c’est drôle, mais c’est pas la face à Claude Julien qui me vient automatiquement en tête…

Parce que pour s’effondrer, il faudrait d’abord être bien au-dessus de ses affaires et reconnu comme tel par ses pairs, non ?

Je me demande bien comment se serait terminé la saison des malchanceux et très, très ordinaires Bruins et auraient-ils finalement atteints les séries avec derrière leur banc;

euh, mettons, Babcock ou Lemaire ou Vigneault ou Boudreau ou tiens tant qu’à y être, un coup partis, Martin ? (moi, c’est lui que je vois à coté de Bill l’éternel effondré, et après, Boudreau)

Aux dernières nouvelles, Martin n’a toujours rien gagné dans toute sa carrière et n’eut été des favorables largesses des "zarbites" à Montréal pendant les 2 dernières semaines du calendrier, sa troupe (une des plus dispendieuse et expérimentée du circuit, contrairement à celle à Julien) n’aurait pas eu la chance de nous montrer que dès le 1ier match en séries2010, elle avait avantage à jouer les victimes à 5 dans sa zone en dégageant jamais plus loin qu’en zone neutre (l’édifiant et très spectaculaire vieux plan B d’urgence du CH des années 60’) en attendant les bourdes de l’adversaire de plus en plus frustré.

Ça ne prend qu’une foule inexpérimentée et gonflée à bloc par des insatiables petits promoteurs médiatiques comme à Montréal pour n’y voir que du feu, et ça l’état-major du CH le sait, depuis 2000, que trop bien jusqu'où pousser le bouchon.

The Boston Bruins may have just pulled off the biggest choke in sports history and did something that had never been done before. Not only did Boston give up a 3-0 series lead, they also blew a 3-0 lead in tonight's game losing to Philadelphia 4-3. As far as overcoming a 3-0 series deficit, the Flyers became just the third team to do that joining Toronto and the Islanders. Simon Gagne's power play goal with 7:08 won it for the Flyers. Gagne played four games after coming back from a foot injury and scored four goals and an assist including tonight's game winner and the game four overtime winner. Boston was called for too many men on the ice (sound familiar?) that led to Gagne's goal.

Once Philadelphia decided to stay out of the penalty box, they did well. High sticking penalties to Scott Hartnell and Daniel Briere helped Boston take a 2-0 lead just 9:02 in. Michael Ryder scored the first one with Milan Lucic netting the second. Lucic stole a puck down the wall and went in two on one and beat Michael Leighton to make it 3-0 at 14:10. Boston had just 12 shots the rest of the way as they played not to lose instead of playing to win. Flyers coach Peter Laviolette called time out and you could see him tell his team, "Lets get just one goal!". Rookie James van Riemsdyk was listening scored his first ever playoff goal before the period ended. The kid out worked Miroslav Satan to keep the play going. As usual when his team really needed him and the pressure built, Satan came up small. He had one point in the first three games against the Sabres, he then scored five goals and four assists in the next nine games, but there was not as much pressure because the Bruins were winning and were ahead in the series. In his final four games he came up with zeros across the board.

In the second period Scott Hartnell backhanded a rebound high over Tuukka Rask just 2:49 in. A former Sabre who does produce in the clutch then tied it on a wrap around that just bounced over the line. Daniel Briere scored seven goals and eight assists in his last nine games.

That set up Gagne's heroics in the third period.

Leighton made 22 saves while Rask stopped 23.

Philadelphia now returns home to open the Eastern Conference Finals against Montreal Sunday night. It's the East's 7th seed against the 8th seed.

http://www.wgr550.com/Bruins-choke-is-complete/7053275

@ Cyberwing

La journée que je chercherai à comprendre une situation concernant le hockey (à moins que je n’ai absolument rien vu, pis même encore) et que je consulterai un journaliste ou un "nanal-yste"…

Pire, un anglophone…

Encore plus pire (carrément impensable), un américain…

Ça voudra dire que mes tites pununes (comme celles que Martin utilise depuis qu’il est chez-nous) n’auront plus l’effet escomptées et que je serai dans l’attente dans une chaise-haute que l’infirmière m’apporte mon manger mou, une bavette, un hochet et mon p’tit Jello goûtant le rouge.

Franchement, on est au Québec icitte-là, les individus plus agés ont vus plus de situations d’hockey que n’importe qui d’autres sur la surface du globe.

Contrairement à ce que peut bien raconter nos promoteurs des médias à la solde du CH, les fefans, les ti-counes à drapeaux qui se couchent avec leur chandail à 400$ sur le dos, ne représentent, en réalité, qu’une faible minorité.

Tout l’monde, ici, depuis 100 ans, possède un indéniable bagage historique sur le hockey, imprégné dans l’inconscient. Ça fait ben du monde ça, en dehors du temple, d’la raie-dio pis d'l'anti-chambre.