Misère,
Loin de vouloir jouer au pisse-vinaigre mais la fâcheuse habitude qu’ont instituées en coutume énormément de caves, écervelées ou cervelle de moineau (B. Landry en a déjà décrit correctement certaines d’entre elles) depuis une vingtaine d’années qui se résume à faire garder souvent (voire même beaucoup trop) ses rejetons par n’importe quel inconnu (surtout le dernier à avoir visité leur plumard la veille) qui de façon aussi soudaine que curieuse (pour les gens normaux) n’a rien contre le fait de passer du statut de « fuck friend » à celui de nouveau beau-père-bonbons devenu affectueusement « mononk Steve ou Dji.ef ou parfois même Youssef » est devenue :
Si répandue à travers le monde civilisé et/ou un peu moins que plus personne avec une conscience morale et/ou sociale un peu plus sévère n’ose en parler, haut et fort, de peur d’être reconnu partout comme vieux-jeu frustré ou pour les plus frileux; de moralisateur qui a forcément qqchose d’encore plus horrible à cacher.
Une excuse-bidon comme celle de notre « mononk Roberto carlos » qui avoue candidement avoir été envoûté, commandé à son insu par une tierce personne « en transe, par-dessus l’marché » (donc ni lui ni elle n’est réellement coupable) au très nébuleux et trop puissant pouvoir de persuasion qui lui aurait fait posé ces gestes tout à fait contraires à ses habitudes.
Euh, elle était où, en réalité, la pauvre p’tite « mouman » pendant tout ça ?
Bien, juste comme on croyait avoir à peu près tout entendu dans vie; on s’aperçoit qu’on est loin d'avoir fini d’en entendre des plus tordues.